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HISTOIRE DE FRANCE.

neur de Bacchus ou de Jupiter. Lui-même, enivré de sa victoire sur les barbares du Nord et du Midi, sur la Germanie et sur les Indes africaines, ne buvait plus que dans cette coupe à deux anses, où, selon la tradition, Bacchus avait bu après sa victoire des Indes[1].

  1. Valer. Max., l. III, c. vii. — Sallust. de B. Jug., ad calc : « Ex ea tempestate spes atque opes civitatis in illo sitæ. » — Vell. Paterc, l. II, c. xii : « Videtur meruisse… ne ejus nati rempublicam pœniteret. » — Florus, l. III, c. iii : « Tam lætum tamque felicem liberatæ Italiæ assertique imperii nuntium… populus Romanus accepit per ipsos, si credere fas est, deos, etc. » — Plut., in Mario.