Page:Mikhaël-Mendès - Briséïs, Dentu.djvu/16

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Nous saurons braver d’un cœur fier
Les tempêtes et la sirène.
Hermès se mire dans la mer
En avant de notre carène.
HYLAS,
s’éloignant à reculons, tandis que chantent te* marins.
Bientôt ce sera la journée
UMSËÏS
Où, jetant des Heurs sous nos pas,
BYLAS
Les vierges criront
Hyménée!
BMSÈtS
Et nos coeurs le diront tout bas.
IIYLASET BtUSÉ’S,
en se séparant et en s’envoyant des baisers.
Hyménee! Hymen! Hyménée!
On entendra Hyias qnt répète, au loin < Xymënée
comme nu
adieu, tandis que *e meurt le chant des marins. Breitéit écoute long-
temps, n’entend plus rien, se retourne vers sa maison.
En traver-
sant la scène elle songe que l’orage pourrait menacer ’a galère; mais
elle écarte cette i(i.e
« Nous M’ooM braver d’un co?)«’ fier
< Les <<’mpe<et
et la <o’<’np. dit l’orchestre.
Puis elle tons que son amant pourrait la tromper
< L<t-&«<, dans les o<t d’~<tc,
<: On dit ’/«’aM~’Mt)c M’/a~eur.
Mats le terment
rassure
< Par r«t<~u.s~ A’~ns.
»
Elle va, plus contente, vers sa maison. Une tristesse eUe pcns 1
sa mère malade.
« Ma mère, nta!$~e
« Par un Ma<M"~
M~’o.
x.