Page:Mikhaël-Mendès - Briséïs, Dentu.djvu/44

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HYLAS
Dis encor
Que tu ne me suis pas, et je.
Hporteteferasagorge.
BmsÈïs
MJetantaucoM’n!y)f)s.
Partons sur l’heure.
EUe lui arrache le poignardqui tombe snr la roche.
IIYLAS
Briaéïs!
BH!SË)S,
dans les brM de son f~ncf, h’è~vite.
Oui! partons! Tu le veux? J’obéis.
Rien n’existe que ton amour. Les dieux, les mères
Et les ~ermeate trahis,
Qu’importe t Les devoirs, chimères! 1
La vérité, c’est ton baiser; les dieux, c’est toi,
Et je suis ton esclave. Hylas, emmène-moi! 1
IIYLAS;
d une voixtriomphante.
Eroa! chaleur ’umière! universelle
sève!
Prince des hommes et des dieux,
Oément! Terrible Impérieux!)
Louange à toi qui rends Briséïs à mon rêve.
La vierge Briséïs, ma gloire et mon bonheur 1
11l’emporte. !)* se trouvent eu face do Thaaatto, debouttous le
porche du temple en ruine.