Page:Mirbeau - Les Écrivains (deuxième série).djvu/122

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« Nous ne comprenons pas. Nous avions pourtant bien cru que ce petit sot avait bien commencé et qu’il serait un honnête amuseur. Tant pis pour lui ! » Les jeunes gens reprennent le livre. Ils n’ont jamais voulu être empereurs, et ils se retrouvent là-dedans, eux et leurs rêves, et leurs tristesses, leur bouillonnement et leur trouble. Quand ils ont fini, ils se sentent, tout d’un coup, fermes, résolus et prêts. À quoi ?

1897.