Page:Molière - Le Mariage forcé, Ribou, 1668.djvu/14

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me il faut. Si l’on m’apporte de l’argent, que l’on me vienne quérir vite chez le Seigneur Géronimo ; et si l’on vient m’en demander, qu’on dise que je suis sorti, et que je ne dois revenir de toute la journée.

Géronimo

Voilà un Ordre fort prudent.

Sganarelle

Ah ! Seigneur Géronimo, je vous trouve à propos ; et j’allois chez vous vous chercher.

Géronimo

Et pour quel sujet, s’il vous plaît ?