Page:Momas (Fuckwell), Débauchées précoces, 1900.djvu/122

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Elle recula lentement et revint à lui.

— Qu’y a-t-il dans ces boîtes, demanda-t-elle ?

— Déshabille-toi ?

— À présent.

— Puisque je te le dis.

Elle hésitait, il s’agenouilla et murmura :

— Je vais t’aider.

Il la troussa, s’arrêta à la vue du pantalon assez ordinaire, et le secouant, ajouta :

— Tu en auras de plus beaux.

— Tu veux que je l’ôte, pour commencer.

— Non, laisse-moi voir à travers les rideaux baissés.

— Les rideaux baissés, c’est ma chemise que tu appelles les rideaux !

Il souleva la chemise, aperçut les poils les baisa et murmura :

— Eh, eh, il y en a en effet ! Voyons ton cul. Très bien, très bien, on fera quelque chose de ta personne.

Les baisers qu’il lui donnait, l’échauffant, elle défit son corsage, sa robe, ses jupes et se trouva en chemise.