i CHAPITRE Il . · >LA nissuunarrotv svnrratvrisivrvia ET som _ ` · eouvnnmsmistvr " ‘ _ `Après la défaite des révolutionnaires cinnaniens, qui Axane; menaçaient le Sénat dans son existence, et lorsqu’il reder ""‘é’““’“L vint possible au pouvoir aristocratique restauré de porter _ son attention sur les choses touchant au salut de l’empire de Rome, au dedans et au dehors, on s’était heu rtéaussitot ' à maintes questions dont la solution ne voulait pas être différée. A les oublier un seul instant on eût compromis `les intérêts les _plus graves, et transformé en danger pour V · · l'avenir les embarras de l’heure présente. Outre la grosse affaire de l’insurrection espagnole, il fallait a tout le moins mettre a la raison, sans tarder, les barbares de la Thrace et des pays danuhiens, que Sylla n’avait fait que chatier en passant, quand il avait traversé la Macédoine (V, p. 300): il fallaitrégler militairement la situation si embrouillée de -la frontiere septentrionale de la péninsule hellénique: . il fallait balayer la piraterie, maitresse sur les mers, surtout en Orient; et enfin, rétablir l’ordre une bonne —
