vile en Sicile, V 16-18.Deuxieme,, nexée au territoire romain,}1 123. V 91-95. — V1 164; — Em loi — L’économie rurale en Etrurie, des esclaves aux travaux agricoles, , IV 150. _ ll 34, 271.- IV 116-122. Métiers Etrurie (mer d’). Nom donné par serviles, 1V 135, 136. les Grecs à la mer Tyrrhénienne, Escunaen. Son culte est établi à I 193. Rome de très-bonne heure, I 243. Etrusques. Par les caractères eth- —-, ll est demandé aux géns ‘ nographiques et la langue ils sont •;l’Epidaure et conduit à Rome, -11 etrangers aux Italiques, I 160. 264. Dans la première période du lan- Espagne. Possessions phéniciennes, gage les voyelles, chez eux, sont 111 16, 17. Sous Hamilcar, 111117 partout conservées, I 161. Plus et s. Exploitation de ses mines tard leur idiome se transforme par · argentiféres, 111 119. Province le rejet des voyelles et des con- romaine,111 218. Sa civilisation sonnes finales et par un parler après la paix avec Hannibal, 111 d’une rudesse et d’uno dureté 2 3-276. Guerres entre les Ro- excessives, I 161. Les quelques mains et les Espagnols, 111 276 et analogies qu’on y rencontre avec s. 280. Luttes dont elle est le les langues italiques ne peuvent théâtre pendant la première moi- provenir que d’emprunts produits Àtie du vn° siècle, IV 288-309. — par les contacts politiques et reli- Pendant la seconde moitié, V 185. gieux entre les deux peuples, I — Préture de César, V11 6, 7. 162. Les Etrusques sont certaine- César et les Pompéiens en Espa- ment étrangers a la famille gréco- gne,Vll260 et s., 326.—V1lt23- italique, 1 163. Ils doivent être 25. -— Sa division en deux pro- rangés dans la famille indo—ger— viuces : ultérieure et citerieure, manique, I 163. Leur entrée pro- 111 277. —- Extension des fron· bable en Italie par les Alpes tières, IV 307. — Son adminis- Rhétiennes, I 165. Avant l’inva— tration, 111 280-283. — V1 8. sion celtique ils occupaient le ter- Esquéliac —— Ezqzoilictc, 1 69, 71. ritoire situé entre les Alpes et le Etain britannique, V 127. — Vll Po, I 166. Plus tard, celui ,17. situé au-dessous du Pô, I 167. Etoliens,I1l 95, 96,286. Dans la Et enfin le Tibre devient la deuxieme guerre punique ils se limite étrusque du coté de rangent du cote des Romains l’0mbrie et du Latium, I 167. ` contre les Macédoniens, 111 200- Luttes avec les Celtes, 1 170. Dé- 204, Leur position après cette veloppement des institutions ur- guerre, lll 294. Ils prennent parl baines, 1 171. Communautés pri- a la guerre contre Philippe, 111 l mitives et confedérations, I 171. 301, 311, 314, 316, 317, 318, 320, Développement de leur marine et 324, 326, 327, 329, — Leurs dif- de la piraterie. lls refoulent les férends avec Rome et leur alliance Hellenes, I 193, et descendent sur _ aveç Antioclius , 111 343-352, les côtes latines et campaniennes, 356. 367, 369. — Leur attitude I 193. Ils fondent une Dodecapole pendant la uerre contre Persee, en Campanie, I 194. Leur prospé- 1V 14-20, 37ç _ rité commerciale, I 194, 268. Étranger. Tout étranger est libre Opulence et luxe, I 269.- II 273. de s’élablir à Rome et peut même — Relations commerciales avec y acquérir, 1 117. A Rome, 1`é- les Sybarites,ll82. Avec l’Attique, tranger est privé de tous droits, I 269. — Et les Carthaginois, I · toutefois des traités spéciaux 270. Alliance armée avec les Car- peuvent lui en assurer certains, thaginois, I 197. Ils dominent la 1213. Ces contrats fondent le jus mer italique, I 198. —— Rivalité ` _ genlium, I 214. ` entre les Etrusques et les Cartha- Etrurie. Ses frontières, 1 167. Ves- ginois sur l’At1antique, I 200. — tiges du passage des Ombriens Apogée de leur puissance, II 103. dans la partie méridionale effacés Guerre avec Rome après l’expul- par 1’occupation étrusque, 1 167. sion des Tarquins, II 7. Marche — L’Etrurie méridionale est an- offensive sur le Latium, II 104.
