_” ` §4_ — ·LIV'BE V,' CHA·PI'1fHE XI'· _ I. ·"` _ ~ ' · ·dépendaitîque_de‘lui : il s’établit en règle que leproconi _ Ã -_ '_ '~sulat ne devait pas _durer plus de deux ans, le propréè ` ,· . Ã teur··ne restantçau eontraire, qu'une année dans sa
, province. r ( . J ' 4 `- `
La Métrbpoie. Ãj En·ee qui concerne la métropole et-la résidence impé-
.- ’ ._riale, Cesar voulut assurément la confier de même, et
. _, __ _ ` pour un certain temps, à des administrateurs, nommés par · , - ( . lui. En conséquence, il·.ress_uscite l’aneienne organisation j' · V du temps des_roîs (I, p. 89) ; et, a diverses fois, pendant
` j uses absences, il prépose aux alfairesde la' cité, soit un; ·
` " ·· soitiplusieurs officiers, ses représentants directs, sans ·roga`tion,au peuple, et p`our un délai indéterminé. Gon- ' ` ·. centrant en eu! toutes les attributions administratives, ( . _ ` ,~ils.ont même le droit de battre monnaie en leur nom, mais Q non,.eomme bien on pense, â1··leu`r effigie *5 Au cours de _47—·1E; ·v. JÃÃc. l’an 707 et des neuf premiers ‘mois de l’an 709,·on ne `voit ` , r , _ dans Bomenipréteurs, ni edilescurules, ni questeurszen _ ` ‘ 47. _ 707, encore, il n’y u de. consuls r1om`mésqu’a:la tin de ‘ ( j _(•5· ' l’année, et en 709 Cesar est·eonsul unique. “ ·' I · V _ ` —· ° .,Tout cela ne`ressemble—t·-il point un essai de réta--·
_ - Q blissement de ·l’antique pouvoir royal, jusque dans Home
A A " elle-même, essai qui‘ne s'arrête`qu'aux—limitescomman- - = Ã ` _. dées par`le passe démocratique du nouveau monarque? - ° .· ,Ne laissant debout, e_n dehors du roi, d’autres magis— ., ' _`; . trats ('que le préfet urbain , quand le roi n’est`point` .1 " Ã ' i dansla ville, et les tribuns;et ediles 'plebéiens, lesquels
ont charge de veiller aux franchises populaires, leon- · ‘
_. '· ` sulat-, _<>«mSu;·e`, préture, -éd1lité’ curule et questure`, ·‘ `~ . _ · _ César supprimef tout le'_reste 2. '· Un peu plus tard, il est
- ';_ ·Q(P.70.]. ' , ` .. (
‘ ' ` — •rAussi voyez les prudentes formules _employées· parles lois de p .· · ‘ Cesar, au sujet des grandes magistrutures : Cum censor aliusvc quës g. iiiagislralus ,R0mœ populi censum agel (lez Jul. municip.. l. 141): · ——Prœlor isle Q1,l8iR0')H¢I?j’l,l'I`€ deicundo pracril (l. _Rubr..passim);· . — -Quœst0r urbanus queipe aera1·i0_praei·il (l. Jul. munie., l. 37 et passim), · [V. les textes et commentaires de cesylois au Corp. lal. — ,_ _ ·in.ic. pp; 115 et s.] . 4 ; ` _.· , `
