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Page:Monneron - Poésies, 1852.djvu/51

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II

L’ALOUETTE.

à m. ch. secrétan.


 
« J’ai dépassé le peuplier
Que la brise humide et plaintive
Incline, argente et fait plier
Sur les eaux calmes de la rive.

» J’ai surmonté le vert coteau,
La source et les moelleux ombrages
Dont la tourelle du château
Voile ses antiques vitrages.

» J’ai dépassé ce roc plus fier,
Où la cascade qui se dore,