Page:Monselet - La Franc-maçonnerie des femmes, 1861.djvu/208

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Quant à M. Philippe Beyle, elle ne pouvait avoir aucun grief contre lui. Depuis quelques heures, au contraire, elle se sentait attirée vers ce jeune homme par une sympathie qui avait sa cause dans l’affection qu’elle portait à son père. Elle le regardait déjà comme un trait d’union entre elle et le comte d’Ingrande ; le rôle qu’il avait embrassé lui paraissait aussi touchant que noble.

C’étaient ces pensées, encore confuses, qu’Amélie avait mises dans le regard envoyé à la marquise de Pressigny.