Page:Monselet - La Franc-maçonnerie des femmes, 1861.djvu/341

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— Adieu donc, mon cher monsieur Beyle.

— Adieu, et bonne chance !

M. Blanchard s’aida des anfractuosités du mur pour le franchir. Il disparut. Philippe Beyle resta pendant quelques instants encore sur le boulevard des Invalides, prêtant l’oreille et ne distinguant aucun son, regardant et ne voyant que l’ombre des arbres, découpée par les jets vacillants d’un bec de gaz lointain.