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TABLE ANALYTIQUE


qui ? L. 59. — Quel en est le principe ? L. 90. — Ils sont ordonnés par le point d honneur et punis par les lois, ibid.


E


Ecclésiastiques. — Leur avidité pour les bénéfices, L. 58. — Agréments et désagréments de leur profession, L.61.— Ils ont un rôle fort difficile à soutenir dans le monde, ibid. — Leur esprit de prosélytisme est souvent dangereux, ibid.

Écriture sainte, beaucoup interprétée et fort peu éclaircie, L. 134.

Écrivains mercenaires. — Leur lâcheté, L. 145.

Éducation des femmes, L. 38.

Église. — Effet que produit son histoire dans l’esprit de ceux qui la lisent, L. 136.

Église (gens d’). — Méprisent les gens de robe et d’épée, et en sont méprisés, L. 41.

Églogues. — Pourquoi elles plaisent aux gens de qualité, L. 137.

Égypte. — Elle n’a presque plus de peuples, L. 112.

Égyptiens. — Ils étaient soumis aux femmes en l’honneur d’Isis. L. 38.

Éléphant dans l’arche, L. 18.

Empereur (l’). — Ses possessions font un des plus puissants États de l’Europe, L. 102.

Enfants. — Ils appartiennent au mari de leur mère, L. 86.

Épée (les gens d’) méprisent les gens de robe et en sont méprisés, L. 44.

Épigrammes. — C’est le genre de poésie le plus dangereux, L. 137.

Épitaphe d’un philanthrope outré, L. 87.

Esclavage. — Raisons pour lesquelles les princes chrétiens l’ont aboli dans un pays et permis dans un autre, L. 75.

Esclaves. — Ceux des Romains étaient fort utiles à la propagation, L. 115.

ESCOBAR, L. 143.

Espagne (l’). — Est un des plus grands États de l’Europe, L. 102. — A été originairement peuplée par l’Italie, L. 131. — On s’y est mal trouvé d’en avoir chassé les Maures, L. 60. — Leur expulsion s’y fait encore sentir comme le premier jour, L. 121. — C’est un royaume vaste et désert, L. 78. — Elle n’a presque plus de peuple, L. 112. — Au lieu d’envoyer des colonies en Amérique, elle devrait avoir recours aux Indiens pour se repeupler, L.121.— Elle n’a conservé que l’orgueil de son ancienne puissance, L. 136. — Sa guerre contre la France, sous la Régence, L. 126.

Espagnols. — Ils méprisent toutes les nations et haïssent les Français, L. 78. — La gravité, l’orgueil et la paresse sont leur caractère dominant, ibid. — En quoi ils font consister leur principal mérite, ibid. — Comment ils traitent l’amour, ibid. — Leur jalousie : bornes ridicules qu’y met leur dévotion, ibid. — Ils souffrent que leurs femmes laissent voir leur gorge, et non pas le bout de leurs pieds, ibid. — Leur politesse insultante, ibid. — Leur attachement pour l’inquisition et pour les petites pratiques superstitieuses, ibid. — Ils ont du bon sens ; mais il n’en faut pas chercher dans leurs livres, ibid. — Leurs découvertes dans le nouveau monde, et leur ignorance de leur