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TABLE DES MATIÈRES.

Causes de l’accroissement de leur autorité, 188.

GENSÉRIC, roi des Vandales, 284.

GERMANICUS. Le peuple romain le pleure, 233.

Gladiateurs. On en donnait le spectacle aux soldats romains, pour les accoutumer à voir couler le sang, 131.

GORDIENS (les empereurs) sont assassinés tous les trois, 250.

Goths. Reçus par Valens sur les terres de l’empire, 269.

Gouvernement libre. Quel il doit être pour se pouvoir maintenir, 187.

Gouvernement de Rome. Son excellence, en ce qu’il contenait dans son système les moyens de corriger les abus, ibid.

Gouvernement militaire. S’il est préférable au civil, 248. Inconvénients d’en changer la forme totalement, 266.

Grandeur des Romains. Causes de son accroissement, 116 et suiv. I. Les triomphes, id. II. L’adoption qu’ils faisaient des usages étrangers qu’ils jugeaient préférables aux leurs, ibid. III. La capacité de ses rois, 117. IV. L’intérêt qu’avaient les consuls de se conduire en gens d’honneur pendant leur consulat, 119. V. La distribution du butin aux soldats, et des terres conquises aux citoyens, 120. VI. Continuité des guerres, 121. VII. Leur constance à toute épreuve, qui les préservait du découragement, 121. VIII. Leur habileté à détruire leurs ennemis les uns par les autres, 162 et suiv. IX. L’excellence du gouvernement, dont le plan fournissait les moyens de corriger les abus, 187.

Grandeur de Rome. Est la vraie cause de sa ruine, ibid. Comparaison des causes générales de son accroissement avec celles de sa décadence, 274.

Gravure. Utilité de cet art pour les cartes géographiques, 303.

Grec (empire). Quelles sortes d’événements offre son histoire, 300. Hérésies fréquentes dans cet empire, ibid. et suiv. Envahi en grande partie par les Latins croisés, 323. Repris par les Grecs, ibidem. Par quelles voies il se soutint encore après l’échec qu’y ont donné les Latins, 324. Chute totale de cet empire, 326.

Grèce (état de la) après la conquête de Carthage par les Romains, 152 et suiv.

Grande Grèce. Portrait des habitants qui la peuplaient, 123.

Grecques (villes). Les Romains les rendent indépendantes des princes à qui elles avaient appartenu, 156. Assujetties, par les Romains, à ne faire, sans leur consentement, ni guerres, ni alliances, 161. Mettent leur confiance dans Mithridate, 177.

Grecs. Ne passaient pas pour religieux observateurs du serment, 195. Nation la plus ennemie des hérétiques qu’il y eût, 300. — (empereurs). Haïs de leurs sujets pour cause de religion, ibid. et suiv. Ne cessèrent d’embrouiller la religion par des controverses, 311.

Guerres. Perpétuelles sous les rois de Rome, 117. Agréables au peuple par le profit qu’il en retirait, 120. Avec quelle vivacité les consuls romains la faisaient, 121. Presque continuelles aussi sous les consuls, ibid. Effets de cette continuité, ibid. Peu décisives dans les