Page:Montesquieu - Esprit des Lois - Tome 1.djvu/13

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ne le furent pas moins. Si mes talens pouvoient égaler mon zele, ce feroit bien ici l’occasion de dire tout ce que j’en connois, mais j’offenserois votre délicatesse ; & cette crainte qui en impose à mon admiration & à ma reconnoissance, ne me laisse que la liberté de vous assurer du profond respect avec lequel j’ai l’honneur d’être,


MONSIEUR,



Votre très-humble & très-obéissant Serviteur ***.