Page:Moréas - Iphigénie, 1910.djvu/98

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Et ceux partis des locriens
          Rivages,
Et ceux qui viennent des rochers
          Arides
Des Echinades aux nochers
          Perfides :
Spectacle qui, comblant mes vœux,
          Réclame
Toujours et mon cœur et mes yeux
          De femme ;
Je retourne et veux être là
          Sans cesse,
Pour m’en souvenir jusqu’en la
          Vieillesse.
(Le chœur sort.)