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Mais pour que je me deuille, ainsi que je le doi,
de la pitié qui n’est en toi,
il faudra que je creuse
le roseau divin, éclatant,
où le chèvre-pied souffla tant
sa fureur amoureuse.
Mais pour que je me deuille, ainsi que je le doi,
de la pitié qui n’est en toi,
il faudra que je creuse
le roseau divin, éclatant,
où le chèvre-pied souffla tant
sa fureur amoureuse.