Page:Moréas - Poèmes et Sylves, 1907.djvu/137

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Que faudra-t-il à ce cœur qui s’obstine ;
Cœur sans souci, ah, qui le ferait battre !
Il lui faudrait la reine Cléopâtre,
Il lui faudrait Hélie et Mélusine,
Et celle-là nommée Aglaure, et celle
Que le Soudan emporte en sa nacelle.


    Puisque Suzon s’en vient, allons
Sous la feuillée où s’aiment les coulombs.