Page:Moréas - Poèmes et Sylves, 1907.djvu/34

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hélas ! Madeline, la fête, Madeline,
ne berce plus les flots au bord de l’île,
et mes bouffons ne crèvent plus des cerceaux
au bord de l’île, pauvres bouffons,
pauvres bouffons que couronne la sauge !
Et mes litières s’effeuillent aux ornières,
toutes mes litières à grands pans
de nonchaloir, Madeline-aux-serpents.