Page:Moréas - Poèmes et Sylves, 1907.djvu/58

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<poem> Ni le nom de Mélusine pourtant, ni le nom d’Argentine ou de la comtesse de Flassand ni celui plus fameux de la reine qui mourut d’aimer, ne valent pour la nommer le nom qu’elle tient de sa marraine nom qui m’êtes courtois échanson de loyal heur, en ma chanson, las, faudra-t-il toujours vous taire ! ô doux nom si gracieux, qui faites pleurer mes yeux quand ma bouche vous profère.

PEL. PAS., ETREN. DOULCE,