Page:Moréas - Poèmes et Sylves, 1907.djvu/60

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Vous qui semblable à la vierge Marie
m’êtes apparue, ô dame au cœur haut,
dame à l’âme fleurie,
du toucher de votre main pure
guérissez ma blessure,
et que vos doux yeux
me rachètent les cieux.