Page:Moréas - Poèmes et Sylves, 1907.djvu/81

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Et tout docte, en nonchaloir fors
De sa Faustine, Marc-Aurèle
Vit de cendre ses lauriers ords.

Ainsi, en la bailli’de celle
Dont les cheveux passent l’or fin,
(Las ! Qui m’est félonne et cruelle),

Je cuide le permesse vain,
Et mon souffle n’a véhémence
D’animer le roseau divin

Qui clamait mon nom par la France.