Page:Morice - Discours prononcé au banquet des amis de Paul Verlaine, 1911.djvu/15

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 Messieurs,


Nous connaissons, tous, les raisons profondes de notre fidélité à Verlaine. Je ne saurais donc avoir, en essayant de les formuler ici, la prétention de rien vous apprendre.

Mais il est bon d’assurer notre communion en des certitudes d’où nous pouvons défier

Le noir vol du blasphème épars dans le futur,


comme a dit Stéphane Mallarmé, qu’il convenait, n’est-ce pas, de nommer, aujourd’hui, tout de suite.