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GUIGNOL.
60,000 francs.
LE NOTAIRE.
Vous entendez, Madame… J’écris, 60,000 francs.
GUIGNOL.
Ah ! je suis mordu, je suis mordu. La puce monte toujours.
LE NOTAIRE.
Est-ce tout ?
GUIGNOL.
Non, non. — Plus, je donnera mon bon… à mon brave… à mon gentil domestique Guignol, pour les soins qu’il a t-ayu de moi… la somme de 20,000 francs[1].
LE NOTAIRE.
Ah ! voilà les 20,000 francs de différence !
Mme BOBINARD, bas.
Y penses-tu ?
GUIGNOL, de même.
Tiens ! puisque c’est moi que meurs, & encore pour vous être agriable, je peux ben me laisser quéque chose
- ↑ Souvenir du légataire de Regnard, acte IV, scène 6 : Item, je laisse & lègue à Crispin…