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DEUXIÈME PARTIE

monte sur un marchepied et, aux applaudissements frénétiques de ses dignes complices, elle s’accouple dans l’air avec la mort, et s’encheville à un cadavre ! — Ce n’est pas la fin de l’histoire. Trop mince ou trop usée pour soutenir ce double poids, la corde cède et se rompt. Mort et vivante tombent à terre, et si rudement que la nonne en a les os rompus et que le pendu, dont la strangulation s’était mal opérée, revient à la vie et menace, dans sa tension nerveuse, d’étouffer la supérieure.

La foudre tombant sur une foule produit moins d’effet que cette scène sur les nonnes. Toutes s’enfuirent épouvantées, croyant que le diable était avec elles. La supérieure resta seule à se débattre avec l’intempestif ressuscité.