Page:Musset - La Confession d’un enfant du siècle, vol. II, 1836.djvu/133

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CHAPITRE IV

Comme je traversais la place, je vis un soir deux hommes arrêtés, dont l’un disait assez haut : « Il paraît qu’il l’a maltraitée. — C’est sa faute, répondit l’autre ; pourquoi choisir un homme pareil ? Il n’a eu affaire qu’à des filles ; elle porte la peine de sa folie. »