Page:Musset - La Confession d’un enfant du siècle, vol. II, 1836.djvu/332

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vous jamais. Ma destinée est liée à celle d’un homme à qui j’ai tout sacrifié ; vivre sans moi lui est impossible, et je vais essayer de mourir pour lui. Je vous aime, adieu, plaignez-nous. »

Je retournai le papier après l’avoir lu, et je vis sur l’adresse : À M. Henri Smith, à N***, poste restante.