Page:Musset - La Confession d’un enfant du siècle, vol. II, 1836.djvu/47

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CHAPITRE X

Si j’étais joaillier, et si je prenais dans mon trésor un collier de perles pour en faire présent à un ami, il me semble que j’aurais une grande joie à le lui poser moi-même autour du cou ; mais si j’étais l’ami, je mourrais plutôt