Page:Mussolini - La Doctrine du fascisme.pdf/66

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

qui ne cherche sa place dans les corporations, dans les fédérations, qui ne veuille être une molécule vivante de ce grand et immense organisme vivant qu’est l’État national corporatif fasciste ». (Pour le VIe anniversaire de la Marche, du balcon du Palais Chigi, 28 octobre 1926 ; même vol., p. 447).

9. Démocratie et Nation

(17) « La guerre a été « révolutionnaire » en ce sens qu’elle a liquidé — dans des fleuves de sang — le siècle de la démocratie, le siècle du nombre, de la majorité, de la quantité » (Da che parte va il mondo, dans Gerarchia, 1922 et dans Scritti e Discorsi, vol. II, Milan, Hoepli, 1934, p. 257).

(18) Cfr. ci-dessus, note 13.

(19) « Race : c’est un sentiment, et non une réalité : 95% de sentiment ». (Ludwig, Entretiens avec Mussolini, p. 75).

10. Conception de l’État

(20) « Une nation existe en tant qu’elle est un peuple. Un peuple s’élève quand il est nombreux, laborieux, organisé. La puissance est la résultante de ce trinôme fondamental ». (À l’Assemblée générale du Régime, 10 mars 1929 ; dans Scritti e Discorsi, vol. VII, p. 11).