Page:NRF 18.djvu/420

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

POEME

��// naissait un poulain sous les feuilles de bronze. Un homme mit des baies amer es dans nos mains. Etranger. Qui passait. Et voici quHl est bruit d^ autres provinces à mon gré... « Je vous salue, ma fille y sous le plus grand des arbres de Vannée. »

��#

��Car le Soleil entre au Lion et V Etranger a mis son doigt dans la bouche des morts. Etran- ger. Qui riait. Et nous parle d^une herbe. Ah ! tant de souffles aux provinces ! Qu'il est d'ai- sance da?is nos voies ! que la trompette m'est dé- Uce et la plume savante au scandale de l'aile ! ... <( Mon âme, grande fille, vous aviez vos façons qui ne sont pas les nôtres. »

�� �