Page:Nau - Force ennemie.djvu/250

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

TROISIÈME PARTIE


I

— Comment c’est toi ? me dit mon frère. J’allais partir ce soir même pour Vassetot, ne recevant pas de réponse à mes dernières lettres adressées au Dr Froin…..

… Une femme de chambre visiblement interloquée par mon apparence bizarre et peu soignée, mais plus impressionnée encore en apprenant que je suis le frère de « Monsieur », vient de m’introduire dans un petit salon japonais, à moins qu’il ne soit turco-arabe… Non ! Il est plutôt hindou, mais il y a de tout là-dedans, des kakemonos, des laques, des lustres de mosquée, des tables basses pour prendre le « kahouah », des meubles du Travancore, des pankahs, un tapis d’Amritsir, des armes de Hayderabad, des tattis de vetiver aux fenêtres. Et combien de choses encore ! C’est toujours le bric-à-brac familier encombrant la pièce assez exiguë. Il faut