Page:Nietzsche - Considérations Inactuelles, II.djvu/88

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S¤¤g€¤¢ jamais qu’il existe d’autres domaines 4’encore, · Leur assiduité a quelque chose de la formid}able-bêtise îîîhêrenteà la pesanteur, c’est pourquoi ils arrivent sou-l lilêûl àl3l’>3üI’8’lJeaucoup de besogne,

A En huitième lieu, la fuite devant » l’ennuî. Tandisque le Vëïllablê penseur ne désire rien autant que les lüiîîlfë, le SHV&11t· Ordinaire les fuit, parce qu’il’ne sait

=’ qui en i’aire· »Sa consolation, ce sont les livres, c’est-à-dire

qïfîl êüüutecemment les autres pensent et qu’il passe T ainsi tout le long du jour à s’occuper agréablement.} ! choisit en particulier lesilivres auxquels il prend d’unefaçon quelconque une part personnelle, dont la lecture peut éveiller quelque peu ses sympathies et ses anti— pathies. Ces ouvrages auront- trait à sa propre activité, à à celle de sa caste, ils toucheront à ses opinions politiques et esthétiques ou seulement à ses idées grammaticales ; s’il possède lui-même une spécialité scientifique, W t " il ne manquera pas de mc, ens pour tuer les mouches et et dissiper son ennui. s.

t En neuvième lieu, le mobile du gagne-pain, qui’”équi-’p à vaut en somme aux fameux «b01·boryg-m ; es d’, un’estoinc délàbré ». On sert la vérité, lorsqu’elle est capahleà de nous conduire’directement à des traitements ou à des situations plus élevées, ou du moins de nous faire acquérir les bonnes grâces de ceux qui ontiàdispenser les places et les.honneurs. Mais c’est cette vérité seule qup’en liïr- est’prêt à servir, c’est »pou1·quoion peut tracer unevliinite rigioureuseentre les vérités’avantag*euses, servies par un 4 grand nombre, et*les vérités désavantageuses, auxquelles ’De ’’p’S’&donnent, quel quelques-uns, ’dont on ne peut ··tr pas dire : ingenii largëlor vanter. ’p. ’—, · .