Page:Noailles - Derniers vers, 1933.djvu/53

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Peut-être puis-je aimer d’un cœur indifférent
Le sable et l’eau d’une calanque.
— Qu’importe si, fougueux, musical, odorant,
Le vaste univers me harangue ?
Le jour à mon destin ne donne ni ne prend :

Rien ne peut menacer un cœur à qui tout manque.