Page:Noailles - L’honneur de souffrir, 1927.djvu/119

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

120
L’HONNEUR DE SOUFFRIR


J’ai trop souffert depuis l’enfance, immense, amère,
D’avoir compris le mal du corps, vase des pleurs,
Et cette âme qu’il faut nommer âme éphémère,
Et qui se sent mortelle en sachant sa valeur !