Page:Nodier - Inès de Las Sierras, 1837.djvu/130

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— À Inès de Las Sierras ! répétai-je en rapprochant mon verre à demi vide de leurs verres déjà pleins.

— Me voilà ! cria une voix qui partait de la galerie des tableaux.

Hein ? dit Boutraix en se rasseyant. — La plaisanterie n’est pas mauvaise ; mais qui l’a faite ?

Je jetai les yeux derrière moi. Bascara s’était cramponné tout pâle aux barreaux de mon fauteuil.

— Ce faquin de voiturier, répondis-je, que le vin de Palamos a mis en gaieté.