Page:Nodier - Inès de Las Sierras, 1837.djvu/193

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sais malheureusement plus les miennes…

La nuit s’avançait. Un sommeil inquiet vint nous surprendre tour à tour. Je n’ai pas besoin de vous dire de quels rêves il fut agité. Le soleil se leva enfin dans un ciel plus pur que nous n’aurions pu l’espérer la veille, et, sans nous dire un seul mot, nous gagnâmes Barcelonne où nous fûmes arrivés de bonne heure.


— Et puis après ? dit Anastase.

— Après ? Qu’entends-tu par là, je te prie ? Le conte n’est-il pas fini ?