Page:Nodier - Inès de Las Sierras, 1837.djvu/221

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

bilité de l’augmenter encore. Que serait-ce donc pourtant, si vous connaissiez ses aventures, dont une partie s’est, à la vérité, passée à Barcelonne, mais dans un temps où la plupart d’entre nous n’y étaient pas établis ? Vous seriez obligés de convenir que les malheurs de la Pedrina ne sont pas moins surprenants que ses talens. »

Personne ne répondit, car on écoutait, et Pablo, qui s’en aperçut, continua ainsi :

« La Pedrina n’appartient point à la classe d’où sont ordinairement sortis ses pareils, et dans laquelle se recru-