Page:Nodier - Inès de Las Sierras, 1837.djvu/35

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noncé irrévocablement sur l’homme, le condamne à vivre du labeur de ses mains, et à la sueur de son front. L’homme de lettres s’était relevé de sa proscription par la force du génie. Il y est retombé ; c’est dans l’ordre.

Il n’y a rien de mieux d’ailleurs que d’exister des produits de son travail, et je vous remercie d’avoir offert cette vocation aux études laborieuses.

Soyez donc, mon cher Buloz, le seul Mécène possible des lettres déchues. Donnez du pain aux gens de savoir, et enrichissez-vous noble-