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de trouver le vin bon (et, par parenthèse, cela me rappelle que j’ai soif.) Presse donc tes mules, s’il te plaît ; car, pour voir le souper plus promptement servi, je porterais un toast à Satan lui-même.
« — C’étaient les propres paroles de mon père dans une partie de débauche qu’il fit à Mattaro avec des soldats comme lui, dit l’arriero. Comme on demandait encore du vin au maître de la Posada : »
— Il n’y en a plus qu’au château de Ghismondo, répondit-il.
« — J’en aurai donc, répliqua mon