Page:Normand - À tire-d’aile, 1878.djvu/137

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Quoi qu’il advienne, ô ma chérie,
Fussé-je au nombre des vaincus :
Je ne pourrai haïr la vie
Et maudire les jours vécus :

Car tu m’as donné connaissance
Des bonheurs à ce point parfaits,
Que, semés sur une existence,
Ils la fleurissent pour jamais !