Page:Normand - La Muse qui trotte, 1894.djvu/96

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

CIRQUE D’ÉTÉ





Sous la caresse protectrice
Des arbres au doux frôlement,
Autrefois « de l'Impératrice »,
Aujourd’hui « d’Été » simplement,

Bourdonnant de polkas folâtres,
Le Cirque, tel qu’un grand joujou,
Dresse la blancheur de ses plâtres
Et son toit luisant comme un sou.