Page:Normand - Le Laurier sanglant, 1916.djvu/21

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

À MA MÈRE




C’est à toi, mère chérie, que je dédie ces quelques pages, écrites pendant des moments bien pénibles, bien douloureux pour toi qui, comme Française et comme mère, as doublement souffert et doublement pleuré[1].


JACQUES


Septembre 1871.
  1. J’ai voulu, malgré les années, malgré la mort, qui seule nous sépara, maintenir cette dédicace à une mère tendrement aimée…