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Page:Nouveau Larousse illustré, 1898, III.djvu/321

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Normands, les Turcs. A peu do distance se trouve la gil )oyeuso et montat^nouse torôt do la Sila.

Le circonda-

rio du m^nie nom a ny.ioo Imb. La province de Cosenza est peuplée de 468.r>iu) hab. sur 6.653 kilom. carr . COSÉSANS (lat. Cosetani)y ancien peuple do l’Espagne Tarraroiiaiso ; capit. Tan’aco (Tarrafj ;one). Leur territoire fait atijourd’luii partie do la Catalogne. — [/n Cosksan. GOSHOCTON, ville dos Etats-Unis {Etat d’Ohio), sur le Muskin^ain : 3.670 hab. Usines sidérurgiques. Ch. - l . du comté de Coskocton, peuplé de 26.700 hab. Gosi fan tutte ossia ta Scuola degli amanti {Elles font toutes ainsi ou l’Ecole des Amants), opéra bouffe en doux actes, paroles do Ijorenzo d’Apontt», musique do Mozart, représenté sur le théâtre impérial do Vionno le 26 janvier n90. La musique do Mozart est charmante, mais le livret do d’Aponto est d’une si piètre valeur que, lorsque les Allemands voulurent jouer cet ouvrage, ils arrangeront le livret do diverses façons et sous divers titres : l’Une fait comme l’antre M792) ; l’Ecole de l’amour fn94) ; Fidélité des jeunes filles (I80i) ; Fidélité de femme ?1805) ; l’Fpreuve magiijue (I8U) ; ta Gageure perfide ^1820). Cosi fan tutte fut joué pour la première fois au Théatro-Italien de Paris, lo i* " " février 1809. Le 5 février 1813, on donnait à l’Opérade Paris un ouvrage en un acte intitulé le Laboureur chinois, simple pastiche dont plusieurs morceaux avaient été empruntés à l’opéra de Mozart, d’autres à Haydn, tandis que les récitatifs avaient été écrits par Berton. En 1862, le Théâtre-Italien de Paris remit au jour Cosi fan tutte, et c’est alors que deux librettistes, Michel Carré et Jules Barbier, eurent l’idée d’accoupler Mozart à Shakspeare, et d’adapter la musique do Cosi fan tutte à la comédie de ce dernier : Peines d’amour perdues. L’ouvrage fut ainsi représenté, sous le titre de Peines d’amour, le M mars 1863, au Théâtre-Lyrique. COSIGNATAIHC (gna-tèr [gn mil.] — du préf. co, et de signataire) n. Personne qui a signe avec d’autres. GosiGUINA, volcan de l’Amérique centrale. V . CoN-SEGUINA.

COSIHUIRACHIG, ville du Mexique (Etat de Chihuahua), dans la sierra Madré ; 3.000 hab. Ses mines d’argent sont aujourd’hui épuisées.

GosiMO (Piero di), peintre florentin. V . Orekice. GOSINE D. f . Principe actif, de formule C*’H"’0'% extrait du cousso [brayera anthelminthica). ii On dit aussi coussiNE et cosÈiNE ; syn. t^niink. COSINELLE [nèV — rad. cosinus) n. f . Math. Expression imaginaire. (Vieux.)

COSINUS [nuss) n. m . Abréviation de sinus du complément. (V. SINUS .) Il Cosinus verse, Nom que l’on donnait autrefois au diamètre diminué du sinus verse. V . sinds.

Enxycl. Math. On appelle cosinus d’un angle ou de l’arc qui a mê-

me mesure la

frojection, sur

un des côtés

del’angle,d’un

segment égal à

l’unité de lon-

fîlTieur pris sur

1 autre côté.

Cette projec-

tion est sus-

ceptible d’un

signe. Considé-

rons un aogle

XOZ ; décri-

vons de O com-

me centre, avec l’unité’de longueur pour rayon, une circonférence : le cosinus de l’angle XOZ, qui s’écrit cos XOZ, ou de l’arc AM qui a même mesure, est égal au segment OP compté sur l’axe orienté X’X avec le signe -f dans le sensX’Xet le signe — dans le sens contraire. Le tableau ci-contre donne les variations du cosinus lorsque l’anglo varie de à 2n. La fonction cos x est périodique ; l’amplitude de la période est 2ii. Le cosinus d’un angle est donc compris entre — i

et -+-

i. Tous les

angles qui admettent pour cosinus un nombre donné compris entre — 1 et ï rentrent dans l’une des formules 2K11 ± a ; a étant l’un des arcs (jui admet pour cosinus lo nombre donné, K étant un nombre entier, positif, négatif ou nul. Le théorème des projections permet d’établir le cosinus de la somme do deux angles :

cos(a-f6)=cosacosô—sinasin6.

On on déduit :

cos{a—b)=cosacosb-~sinasinb.

La formule de Moivrc (v. Moivre) donne pour valeur de cos ma, m étant entier et positif : COSÉSANS — COSMOCRATIE

ANGLE COSINUS

+1

décroît

décroît

r

1

croit

croit

2ii

+1

COSma=cos

m{m

m(m— 1)

1.2

l)(m—8)(m—3)

l.S .3 .4

La dérivé© do la fonction y = cosx est y’ = — sinx. La formule do Maclaurin fv. Maclauiîin) donao le dàvoloppoment do cos x en sôrio ;

COSX =1

l"*" !!

6 ;’

GOSIO VALTELLINO.comm . d ’Italie (Lombardiolprov. de Sondrio) ;, sur l’Adda, dans la Valiolinc ; 2.200 liai». COSIQUE adj. Al^’èbr. V . cossiqde. COSI3MAL, ALE. AUX adj. Phys. Syn. do msmau COSLIN, villi^ diî Prusse. V . Cœsmn. COSMANTHE n. m . Bot. Syn. de puacklik. GOSMAO-KERJULIEN (Julic-Mario. baron de), amiral et sénatuur frantjais, né en ITGI â Châteaulin, mort à Fïrest en 1825. 11 était fils d’un notaire. A peine ûgé dn quinze ans, il s’échappa do la maison patornollo pour s’engager dans la marmo, et lit sa première campagm» aux Antilles. Capitaine do vaisseau en 1793, il fut promu •

hef de division en 1790, à la suite du glorieux combai qu’il Bouiint sur son bâtiment fc Tonnant, contre une r.otte de douze vaisseaux anglais. Dix ans plus tard, on I

retrouve Cosmao dans l’escadre de ramiral Villeneuve. Kii mai 1805, il on fut détaché pour aller assiéger lo Diamant, ilôt situé au S.-O. do la Martinique et occupé par une garnison anglaise. Cosmao le prit en doux : jours. Il prit part (luolqucs mois après, sur le Pluton, à la funeste oataillo de Trafalgar. Il s’y distingua, et réussit à gagner la rade de Rota, d’où il sortit dès le lendemain pour prendre une revanclie contre ses vainqueurs ; il leur enleva plusieurs bâtiments français et espagnols. Cette belle conduite valut à Cosmao le grade do contre-amiral. Créé baron de rKmpiro en 18IO, il fut, en 1815, au retour de l’ilo d’Elbe, nommé préfet maritime à Brest et élevé à la dignité de sénateur. Destitué par les Bourbons, il fut admis à la retraite en 1817.

COSMARION {sma) n. m . Genre d’algues microscopi- (|ues, do la tribu des dosmidiées, comprenant jilus de trente espèces, qui habitent les eaux douces, surtout les eaux stagnantes : La reproduction a lieu de deux manières dans tes cosMARioNS. (BrébissoD.)

CosMAS, surnommé Indicopleustes, c’est-à -dire I l v oyageur cesmographo dans l’Indo », marchand et voyageur du VI’ siècle apr. J .-C, né à Alexandrie. Il commerça longtemps en Kthiopie et dans une partie de l’Asie, embrassa ensuite la vie religieuse, et écrivit divers ouvrages géographiques ou théologiques, dont le plus important était une Description de la terre, aujourd’hui perdue. Il reste seulement de lui une curieuse Topographie chrétienne de l’umvers (en grec), qui ne fournit d’ailleurs aucun détail sur les voyages de l’auteur ; Cosmas y veut prouver que la terre est un carré long, borné par des murailles qui se cintrent en voûte pour former le firmament. Son système sidéral est aussi bizarre. La Topographie ctirétienne a été publiée pour la première fois en 1706, par le P. Montfaucon, dans sa Collection des Pères et écrivains grecs, d’après un manuscrit de la bibliothèque de Florence. GoSMAS, jurisconsulte grec du x« siècle. Il était magister officiorum à Constantinople, sous le règne de Romain le Vieux. Il est l’auteur de Sentences, sortes d’instructions ministérielles qui accompagnent dans plusieurs manuscrits les NoveÙes édictées par cet empereur. COSME {kossm’ — du gr. kosmos, même sens) n. m . Aniiq .

gr. Nom des principaux magistrats dans les cités de Crète. (Les cosmes, qui avaient remplacé les anciens rois, étaient élus, chaque année, au nombre de dix ; ils commandaient l’armée et étaient les chefs du pouvoir exécutif.) GOSME et DaMIEN (saints). V . Côme et Damien. GOSME de Jérusalem, surnommé Hagiopolite, poète grec du viu" siècle de notre ère. Il fut vendu à. saint Jean de Damas par des Sarrasins, qui l’avaient pris sur mer ; il fit l’éducation de ce saint, puis devint évoque dans la Palestine. Cosme a conaposé une partie des Odes du Triodum des Grecs, et des Hymnes, dont treize ont été publiées dans la Bibliotfieca Patrum. GoSME de Prague, historien tchèque, né en 1045, mort en 1125. Il fut secrétaire de l’empereur Henri IV, entra dans les ordres et devint doyen de i’é^lise métropolitaine de Prague. Sa Chronica Bohemoru7n,e plus ancien monument do l’histoire nationale, s’arrête à l’an 1125. GoSME (le Frère), chirurgien français. V . Baseilhac. CoSME DE Médigis. Biogr. V . Mkdicis. COSMÉE {smé

de COSMOS.

du gr. kosmein, orner) n. f . Bot. Syn. GOSMÉLIE (smé-tî) n. f . Genre d’arbrisseau de la famille des épacridées, tribu des épacréos. (Les deux espèces connues habitent la Nouvelle-Hollande.) COSMÈME {smèm’) ou COSMEMA (smé) n. f . Genre d’insectes coléoptères carnassiers, famille des cicindôlidés, tribu des cicmdéiinés, comprenant des formes assez trapues, à corps ovale rétréci en arrière, de couleurs métalliques brillantes, et de taille moyenne. (Les cosmômes. dont on connaît vingt-quatre espèces, habitent l’Afrique tropicale, surtout la Cafrcrie et le Natal.) GOSMESCI, comm. do Roumanie (district deTecuciu) ; 2.100 bah.

GOSMÈTE (smèf) ou COSMETUS (smê-tuss) n. m . Genre d’arachnides phalangides, famille dos phalangidés, comprenant dos formes à corps élargi en arrière, avec deux épines terminales, à pattes antérieures courtes, celles de la deuxième paire les plus longues.

Encycl. Les cosmètcs sont des faucheurs do taille moyenne, bruns, variés de blanc, dont on connaît huit espèces habitant l’Amérique du Sud. Le cosmetus pictus, type du genre, à céphalotnorax blanc piqueté do noir, est propre au Brésil.

GOSMÈTE {smèf) n. m. On désigna par co nom : i« A l’époque impériale, les surveillants des gymnases grecs. [Ils étaient chargés spécialement do l’administration et do la discipline. Un anticosméte et doux hypocosmétes, ou sous-surveillants, l’assistaient] ; 2" A Rome, dos esclaves chargés do la garde -robe des hommes et des femmes. [Co mot n’est employé qu’une fois, et lo passage do Juvénal {Sat. VI, v. 476) no peut s’appliquer, comme ou l’a cru souvent, aux femmes esclaves chargées do lu toilette. Colles-ci s’appelaient cosmetrix ou ornntrices. Elles étaient instruites dans leur art par dos maîtres spéciaux. Il on fallait un grand nombre pour vafjuer A la parure d’une élégante matrone. On distinguait les dépilanstes, ou é|)(lousos ; les cinifloncs, qui peignaient Il^s cheveux ot les frisaient au fer ; les /n’ca^-ict’j, qui los brossaient ; les /)5fcastcs, chartjoes des essences parfumées ; les o«c/oris/t’s, qui en frottaient ta peau ; les ponceuses, les phialiges ot les stimmigc’S, qui peignaient lo visage, les paupières, les cils, los sourcils, qui teignaient les chovoux ; les dropécistes, ou pédicures et manicuros ; puis les vcstipices, ou habilleuses ; los catoptrices, qui tenaient les miroirs ; les flambaries, qui portaient l’éventail ; los appréciatrices, qui dirigeaient Popérution otfdonuaicni leur avis, etc. ; enfin. los 7ornri( ;9, qui distribuaient les coups de fouet suivant le caprice de In maîtresse.]

GOSMÊTIQUE {smétik’ — du gr. kosmCtikos ; do kosmein. parer) adi. Se dit dos préparations do toilette qui servent à embellir et ii couservor iratchos los parties extérieures du corps : Huile cosmrtiqué. Snvon cosMiiTiquK.

n. m . Substance cosmétique : Un cos.MBTrque. Faire USaQe <te COSMUTIQUBS.

n. f . Partie de l’hygiène qui traite dos cosmétiques et do leur usage : Traité sur ta cosmétique.

Encycl. Les cosmétiques, substances aromatiques employées pour entretenir les qualités de la peau, contiennent dos sub.stances vénéneuses, échappant à la loi , parce qu’elles sortent de l’officine du parfumeur et non de celle du pharmacien. Leur etfet le plus immédiat est do boucher los parois do la peau et, par suite, de diminuer, môme de supprimer, la respiration cutanée, adjuvant indispensable de 1 aération pulmonaire. On sait, eu etfet, que le plus sûr moyen do tuer rapidement un animal est de lui obturer la peau en la recouvrant d’un vernis ou d’un emplâtre quelconque. Les parfums qui servent e’n quelque sorte de passo-purt aux cosmétiques sont également des substances nuisibles, car ils diminuent, altèrent l’odorat, sans parler des phénomènes nerveux d’excitation ou d’atonie, d’énervement ou de dépression qu’ils produisent. Aucun de ces agents ne concourt, en général, à la conservation de la beauté. Tout au plus peuvent-ils parfois donner un éclat momentané ou nécessaire à la scène pour incarner un personnage déterminé. Les substances employées : acides, astringents, matières colorantes, huiles essentielles, baumes, résines, corps gras, graisses, savons, substances minérales, peuvent cependant rendre quelques services, à la condition de ne pas séjourner longtemps sur la poau, et d’y exercer une action tonique et momentanée. Gosmétiaues (Traité des), ouvrage grec de Criton, médecin célèore du temps de Trajan. Cet ouvrage ne nous est pas parvenu ; mais on en connaît le contenu par Galion. Ce traité était divisé en quatre livres ; l’auteur avait fait usage des écrits d’Archigène, de la reine Cléopàtre et d’Héraclide de Tarente. Le premier livre traitait des cheveux, de la peau, etc. ;

le second, des bains et des parfums ; le troisième, des taches de rousseur et des boutons de chaleur ; et le quatrième, des différentes maladies qui détruisent la beauté.

Cosmétiques (les), poème composé par Ovide, l’an 4 av. J . -C . L’auteur, avec son habituelle facilité, s’amuse à mettre en vers le code de la coquetterie. Dans le fragment d’environ deux cent cinquante vers qui nous est parvenu, il donne la recette de toutes les pommades connues. Le sujet est ingrat, mais il est merveilleux de voir avec quelle aisance Ovide, comme dans les Métamorphoses, se joue des difficultés. Quelques réflexions spirituelles ou ingéoieuses relèvent la monotonie d’une matière prosaïque entre toutes, où le poète a su mettre, sans se montrer trop sévère au point de vue du bon goût, de la poésie et de la grâce.

COSMÉTIQUE, ÉE(sme)adj.Qui est enduit de cosmétique. COSMÉTIQUER (smé, ké) V. a . Mettre du cosmétique à : CosMÉTiQUER Ics moustaches de quelqu’un. GOSMÉTOLOGIB (smé, ji — du gr. kosmein, parer, et logos, discours) n. f . Partie de l’hygiène, relative aux soins de propreté.

GOSMIBUÈNE {smi) n.m. Arbuste de l’Amérique tropicale, de la famille des rubiacées, tribu des cinchonées, ayant de belles fleurs blanches à odeur suave. GOSMIDÉS {smi) n. m . pl.Familled’insecleslépidoptères, sous-ordre des noctuelles, renfermant des papillons éléi ^^ants, à ailes bariolées, à abdomen court et conique. (Les chenilles des cosmidés vivent entre deux feuilles, ou’elles réunissent avec de la soie ; do mœurs carnassières, elles dévorent leurs voisines à l’occasion. Genre principal : cosmie ou calymnie.)

Un COSMIDÉ.

COSMIE (smO n. f . Bot. Genre do portulacées. Syn. do C.VLANDRIMA .

COSMIE {smi) ou COSMIA n. f . Genre d’insectes lépidoptères, sous-ordro des nocluolles, famille des cos7nidés, comprenant des formes de taille moyenne, à antennes filiformes, à trompe courte, à corselet globuleux. (On connaît quelques espèces do cosmies habitant l’Europe ; une dos plus communes, la cosmia trape-

ziua, vole dans los bois, en juillet. ) Syn. CALYMNIE.

COSMIMÉTRIE n. f , Syn. do

COSMOMKTKIK.

COSMIQUE (smik’ —

du gr.

knstnos, monde) adi. Qui a rap-

port au monde, à l univers, à rordro général : Les espaces COSMIQUES. Matière cosmique.

Astron. lever. Coucher cosmique. Se disent du lover et du coucher dos astres, lorsqu’ils s’effectuent on mémo temps que ceux du soleil.

Philos. Musique cosmique. S’est dit, dans la philosophie py thûgoricionne, des harmonies répandu dans toute la nature, et qui

régnent, d’après

Pythagoro, dans

ràtmosphèro do

ihaipio planète.

COSMIQUE-

MENT (smi-kc)

udv. D’une ma-

nière oosini<|ue.

COSMISOME

ou COSMISOMA

(»)i)n. m . Genre

d’insectes lon-

gicornos. famille

(les cérambyci-

dés, tribu dos

rhopulophoridé» :,

comprenant los

fornii’S dont les

antonnos portiMit uno houppo poiluo dans lour seconde moitié. (Los cosmisomos sont de jolis capricornes do taille moyenne, A livrée bariolée, dont on connaît quelques oupècos propres ù l’Amérique du Sud.) COSMOCLADIE {snio, di) n, f. Algue do lu famille dos pulmellacoes, tribu des coccophycéos. COSMOCRATB {smo — du gr. kosmos, monde, ot krntvs. puissancf" ! n. Partisan de la monarchie univorsoHo. C06M0CHATIB {snw, si — rad. co^moc. nie) n* f> Monar chie iinivorsollo.

Cosmio (pr. uat.)

Couiiiisomu (rcd. d’uu tiers).