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POMPE — POMPEI

lui fil ’11111 tiiamùtrc j)Ius petit. Dans co conduit, un peu an-ilcssus do sa jonction avec Ip corps i

nompc, est une 

sonpapo qui s’ouvre do bas rn haut. Quand on abaisse o piston, sa soupape se ferme par suite do l’incompressibilité do l’eau. La soupa[>e do refoulement se soul£ ?vo au ^contraire laissant un passage à l’eau du corps de pompe ;

coiio-ci so précipite dans ce conduit. Lorsqu’on relève
!le piston, l’eau du tuvau do refoulement ai ;it par son 

’poids sur la soupape ao co conduit et l’oblige à so fermer, , tandis quo la soupape du piston s’ouvre et laisse passer au-dessous une certaine quantité d’eau, et ainsi de ’suîto.

— Pompe aspirante et foulante. Avec ce système do ,pompo, le tuyau daspiration plonge dans l’eau. Au point de joiiciion est une soupape s ouvrant de bas on haut. Le piston est plein et aspire l'eau lorsqu'il s'<>iôve dans le corps de pompe, f^uand il descend, la soupape du tuyau ’d'aspiration se forcne et une seconde soupape cuiiionuo dans la conduite do refoulement s’ouvre sous la pression de leau qui s’élt’vo d6s lors dans co tuyau. Pour éviter los chocs que produit l’eau ainsi rofouloo contre les parois ot les coudes, on installe, sur un point do la conduite élévatoiro, un réservoir rempli dair, que l’on appelle chambre à air, dont l’élaslicitô contrecarre ces Chocs. Le type do co genre do pompe est la pompe à incendie.

— Pompea à pistons pleins ou crcnx et plongeurs. Ces types do pompes se rattachent au système do pompe aspirante et foulante. Co dispositif, (fui no fonciionno t|uo mécaniquement, est destiné aux pompes de j-randes dimensions et s’appliqiio aux machines élévatoiros employées pour les distributions d’eau dans les villes.

— Pompe à godets. Pompe à chapelet. V. noria.

— Pompe centrifuge Celte pompe, dont on fait surtout usage pour tes travaux d’épuisement, à cause do son très grand débit, n’est autre chose qu’une sorte do ventilateur à axe horizontal et à ailes courbes. Kilo est constituée par one roue à aubes, montée dans une enveloppe à deux ouvertures. L’une de ces ouvertures sort à l’aspiration, l’autre au rofoulemont ; c’est donc on somme une pompe aspirante ci foulante.

— Pompe rotative. Les pompes rotatives so divisent en potppes à pig-ionx, à palettes à mouvement sphérigue. Les pompes ù pignons sont formées do deux di ?s(|ues creux reliés l’un a Vautre un peu au-dessous de leur diamètre horizontal. Dans chacune de ces boîtes sont montés, sur des axes horizontaux, doux pignons plats à six doiits, qui engrènent les unes dans les autres iusqu’ù fond de course. Doux ouvertures servent, l’une à l’aspiration, l’autre au refoulement. Les pignons, tournant rapidement en sens contraire, refoulent Veau contre les parois de la boîte, d’où elle s’échappe par le lulto de refoulement.

— Pompe rotative à palettes. Cette pompe so compose d’un corps do pompe cylindrique, dans l’intérieur duquel un cylindre se meut, en conservant toujours une position oxconirée par rapport à ^a cavité cylindrique du corps de pompe. Trois palettes, glissant dans des mortaises, rentrent et sortent alternativement, pendant l’t^volution du cylindre excentré, maintenues en contact permanent avec les parois intérieures de la pompe au moyen d’un deuxicmo cylindre central. Les palettes forment trois chambres, tour à tour aspirant et refoutant le liquide.

— pompe à moui’fment sphériguc. Dans ces pompes, lo piston en forme de tronc do cône évidé. terminé ()ar une splière servant do pivot, est doué d’un mouvement oscillatoire. Il se meut dans un corps do pompe constitué par un segment sphérique limité d’une part par un tronc do cône évidé et de l’autre par un plateau servant de crapaudine au piston. Dans son mouvement, co piston divise la capacité du corps do pompe en doux parties égales, l’une communiquant avec le tube de refoulement et l’autre avec celui d’aspiration.

— Pom/tf à vapeur. On en distingue trois sortes : l" La pompe à air, qui n’est qu’une pompe à eau ordinaire, assez grande pour enlever du condenseur leau chaude qui s’y dépose ù chaque instant, ainsi que l’air qui s’y dégage. 2* La pompe à eau fraîche tire l’eau soit d’un puits, Hoit d’un cours d’eau voisin, et la verso dans uno bftche, ’l'où elle est dirigée sur les points convenables. 3" La pompe d’alimentation, exclusivement employée à maintenir constant le niveau de l’eau dans la cliaudière. Les pompes à vapeur sont ù quatre pistons à courant continu, • action directe, ù action directe a deur cylindres accouplts, vXc. lilles sont à simple ou ù, double effet.

— Milit. Pompe du frein. Cette pompe, dite pompe do remplissage du

frein, est uno pom-

pe aspirante ot rou-

lante dont la nion-

tnro est pourvue

d’une m&choire nui

se fixe sur l’atritt

au moyen d’une

vis do pression. Lo

corps de la pompe

est muni do doux

tubulures : une ver-

ticale, d’aspiration,

et l’autre Imn/on-

tale , de refoule-

ment, dont chacune

est rapportée au

moyond untiteiage

et com prime lo

point de la sou-

pape corrrsiion-

dante. I^e piston do

la pompe est un pis-

ton-plonifcur, pro-

longé par une ti^e-

guide tjui passo

dans un piston lixé

A la monture et re-

TuyaudcPnccor’

ijf in* |CÔt« dufronlj

Pompp t]f rpitiplUsftttc du frein hyilro|inr’iintmTqu»’.

-^. :_Jp

Pompée (statue antiqiii’,

au palalti Si^ida, Rome).

lié par doux bielles nu levier de manœuvre. Sur la tutmluro do refoulement se fixe un manomètre gradué, qui permet de mesiin-r la pression développée pendant le remplissage ilu rérnpéraieur au moyen do rliuile contenue dans une cuve graduée elle-même en décilitres. Cette opération du rectiargement dematide do 15 Â 20 minutes ; mais elle n’a besoin d’être faite cpi’après le tir d’environ 1.500 coups. l/alfAt des eanons .■ tir rapide est muni d’un réservoir contenant assez d’huile pour une campagne.

Pompe. i Pompe est uno étoile ù variation continue et so rapproche beaucoup de î ; Gémeaux. l..a durée, fort courte, do sa période est de 7 h. 8 m. et elle varie entre les grandeurs G et 7,3 ; le temps d’accroissement do lumière est sensiblement lo mémo que celui du décroissemont.

POMPEDIUS Silo, général marso, un des promoteurs de la guerre Soctale. Kn 90 av. .I.-C, il battit l’armée de SorviliusCepiou, pi it lîovîaiium, mais périt dans un combat.

Pompée ou Pompeius Strabo (Cneius Sextus)

consul romain, père du grand Pompée, mort en 87av.J.-C. Questeur, préteur, consul, il rendit de grands services pendant la guerre Sociale, mais se déshonora par sa cupidité et ses déprédations. Indécis dans la lutte entre Marius et Sylla. il fut battu et tué par Cinna.

Pompée iCncius Pompeius), dit le Grand, homme d’Etat romain, né en 107 av. J.-C, d’iino lamillc équestre, mort en 48. 11 lit ses premières armes sous son père, P. Strabo, et se rangea du parti do Sylla, pour le<|uel il leva do son chef troislégions, qu’il lui amena ù travers trois corps ennemis. Sylla lo s.ilua du titre d’iruperator et, depuis, lui dunna lo surnom de Grand. Il so l’attacha ainsi. Après la mort de Sylla, Pompée anéantit ce qui restait du parti de Marins. Il eut lo

boutiour incroyable d’ache-

ver les campagnes commen-

cées par d’autres, s’assurant

ainsi une ronommée mili-

taire en partio seulement jus-

tifiée. L assassinai de Sorto-

rius par Perpenna lui permit

de mettre facik-iueui tin à la

guerre d’Kspagne. A son re-

tour en Italie, il écrasa les

dernières bandes do Sparta-

cus. Il reçut alors lo consu-

lat ot le triomphe (79). Jus-

(111 ’alors, seul soutien do

1 aristocratie, il se tourna à

ce moment vers les cheva-

liers et vers ta plèbe. Pour

l’on remercier, lo peuple lui

donna le commanuement de

la guerre contre les pirates,

et cette facile expédition,

qui rendait la sécurité aux

navigateurs et assurait fap-

provisionnenicnt régulier de Rome, doubla .sa popularité. Lucultus avait épuisé Mithridate. Pompéo fut désigné pour racbover. Celui-ci mourut à point nommé, et la campagne de Pompéo fut uno triom|>hante promenade militaire. Mais, au retour, lo sénat refusa do ratifier les actes do son proconsulat ; il so ligua alors ouvertement avec César et Crassus : c’est le premier triumvirat (61). lis so parta" :ôrcnt le monde. Pompéo épousa Julie, (illo do César ; il eut l’Afrique ot l’Espagne, mais ne quitta pas Uomo ; Crassus eut rAsio ; César choisit la Gaule et. pendant que ses rivau.x s’usaient on intrigues, acquit la gloire, la ricliesse, lo prestige du vrai génie. Crassus mourut. Pompée et César furent aussitôt en présence. Le sénat, dont Pompée s’était rapproché, le nomma, en 52, consul unique. Mais quand, en 49. lo sénat déclara César ennemi public. Pompée, qui s’était vanté do «i n’avoir quà frapper l’Italie du picil pour en faire sortir des légions », ne sut, en réalité, prendre aucune mesure jiour défendre Rome contre le vainqueur des Gaules et so réfugia en Grèce avec son armée. Pendant ce temps, César soumettait l’Italie, l’Afrique et l’Espagne. Knfin, les deux partis se rencontrèrent à Pbarsato. La jeune monarchie militaire iriomiiha de la vieille république aristocratique (48). Pompéo se réfugia d’abord à Lesbos, puis alla demander asile à Ptolémée XII, roi d’Kgyple, qui lo fit tuer et envoya sa tète à César. Celui-ci, dit-on, pleura sur le sort do son gendre et ancien allié. Pompée fut, en somme, un génie médiocre, que les événements portèrent à une situation au-dessus de son mérito. Il avait de la noblesse, do la modération quand ses intérêts n’étaient pas en jeu, do la lidélité, des uKrurs pures, mais aussi une Insupporiablo présomption. Vainqueur, il eût été un maître aussi absolu, mais moins généreux et moins habile que César. Après la mort de Julie, Pompée avait épousé Cornélio, veuve de Publius Crassus.

Pomoée (la Mokt de), tragédie en cinq actes, par P. Corneille, représentée en lfi43. Le sujet, emprunté à Lucain, est la mort du général romain, l.Vhement assassiné par ordre du roi d’Kgyple, après la bataille de Pharsale. Lo premier acte est fort Ijeau : Ptolémée consulte Photin, AcIiillasetSoptime pour savoir quel sort il faut réserver au fugitif ; jamais les cruelles maximes de la raison d’Iî^tat n’ont été formulées avec plus de force. Pompée, qui no parait pas dans la pièce, est égorgé lorsqu’il aborde au rivage égyptien ; son ombre va planer sur tout le reste du drame. A vrai dire, l’action (|ui suit n’est qiiimparfaiiemenl liée à la précédente. L’arrivée de César, son amuur trop galant pour Cléopâtre, ses entrevues avec Cornélio, veuve de Pompée, ses luttes de générosité avec elle, lo péril qu’il court, la pusillanimité et la punition linalo de Ptolémée. forment uno succession de scènes souvent admirables plutôt qu’une véritable pièce. La .Mort de Pompi’e n’en demeure pas moins, par des (|ualités oricinales ot d’éminontes boaut(’s, au premier rang <les chetsd’œuvre de second ordre de corneille. L’admirable caractère de Cornélio (ofi Adrienno liccouvreur trouva un de ses plus beaux rôles) suffirait à. immortaliser la pièce.

— Avant Corneille, Robert Garnior avait donné une CnrnHie (1574), et Chaulmer, un obscur poète, une ^Jl.lrt de Pompée (1C38). La tragédie de Corneille, publiée en 1044 chez Snmmavillo ot chez Courbé, ost dédiée à Mazarin.

Pompée (coi.oNNK du). V. colonne.

Pompée (Cneius), fils du grand Pompée, né vers 7r. av. .l.-C. Son père mort, il continua en Kspagne la liiite ’l'ture César. Celui-ci vint en personne lo battre à Munda 1 ■ . Il fut tué dans la poursuite.

Pompée (Sextus), le plus jeune des fils du grand Pompée, mort on 3 :1 av. .L-C. Après la mort do son père, il continua la lulto sur mer. truand son frère cul été

1000

vaincu et tué à Munda (45), il passa chez les Celtibères et continua avec pou de succès la lutte contre les lieutenants de Cé^ar. La mort du dictateur lui permit do rentrer à Rome, et il reçut le proconsulat des forces navales. Proscrit ensuite par les triumvirs. Il s’empara de la Sicile. Pendant les luttes d’Octave, d’Antoine, de Brntus, il se rendit maître do la Méditerranée et réussit à afi’amer Rome. Le peuple, alors, força ses adversaires à traiter avec Pompée, qui reçut le consulat (38). Puis, la guerre recommença entre lui et Octave ; il fut trahi par sou lieutenant Menas et vaincu par Agnjipa dans une bataille navale. Il s’enfuft à Milet, où un ofiicier d’Antoine le tua.

Pompée tTitoiu-i : historien latin, n*’- en Gaule. Son père avali été secrétaire de Jules César. 11 avait composé une Histoire universelle, en 44 livres, intitulée Histoires philijtpiques, à cause du grand développement ([ii il accor* dait aux atfaires de Macédoine. L’ouvrage, dont il ne reste qu’un abrégé, par Justin, était très estimé des anciens.

Pompée (Pierro-Ptilllbort). écrivain pédagogique, né à Besançon en 1809. mort en 1874. Il parvint à force u énergie à prendre ses grades, devint, en 1829, directeur de lécole municMpalc du V* arrondissement de Paris ot fut un des fondateurs dos associations polytechnitjue et philotechnique. 11 fonda (1839) ot dirigea jusqu’en IH52 lécole Turgot. Rn 18Ô2, il installa, à Ivry. une maison d’enseignement professionnel. 11 fut maire d Ivry et conseiller général de la Seine. On a de lui : Mémoire sur l’ori/anisaîion de l’enseignement professionnel en France ; /{apport historique sur les évolt’s primaires de la ville de Paris (1839) ; Etude sur la vie et les travaux de Pestalozzi (1850), couronné par l’Académie des sciences morales ; etc.

PoMPÉI, ville ancienne de Campanie. au S. de Naples. à J 1 l.iliuii. du Vésuve, à l’emboucliure du Sarno {.Saruus). La iratliiiun voulait qu’elle eût été fondée par Hercule. Ses premiers babitanis furent les Osc|ues ; elle s’assimila rapidement la civilisation grecque, passa aux mains do divers maîtres, puis ello prit part à la guerre Sociale et fut assiégée sans succès par Sylla {82 av. J.-C). Pourtant, Pompéi se latinisa vite et devint un lieu de plaisir recherché de la meilleure société. Cicéron y avait une villa. Municipe sous Auguste, elle gagna sous Néron le rai>g de colonie. L’éruption du Vésuve en C3 la ravagea une première fols ; celle do 79 la détruisit pour toujours. Ponipéi no fut jamais qu’une assez petite ville de 30.OOO habiiants {Pompéiens, enufs), mais le commerce do son port était actif, et elle recevait beaucoup d’étrangers.

Quand so produisit la seconde catastrophe, la restauration de la ville était loin d’être achevée. D’autre part, il est certain que les habitants, dont la plupart avalent pu se sauver, peu de cadavres (environ 300), revinrent fouiller la ville et en retirèrent tout co qu’ils purent d’otyeis précieux. Enfin, elle servit longtemps de carrière ot Ion y rechercha surtout tes matériaux précieux, tels que le marbre. Puis elle tomba dans l’oubli, bien que la tradition populaire eût conservé à son emplacement le nom do Ctvità. En 1748, un paysan trouva des statues. L’attention

Itiiiiiea du forum de rompéi.

du roi Charles III fut éveillée. On commença des fouilles, qui avancèrent fort lentement jusqu’à Mural. Celui-ci les poussa activement, mais toujours suivant le même principe. Revenus, les Bourbons revendirent la plupart des terrains achetés par Murai. Depuis 1800, les travaux, dirigés pendant plus de trente ans par le savant Fiorelli, ont continué régulièrement et suivant la meilleure méthode, (|ui cherche non à trouver des objets dart, mais à restituer la ville elle-uiéme.

Telle quelle est. Ponipéi est encore la plus saisissante évocation de l’antiquité que l’on puisse imaginer. Avec ses rues bien alignées et bordées de trottoirs, ses enseignes, ses boutii|ues. ses g-af/iti. ses fontaines, la ville semble endormie plutôt oue morte. Les murs sont couverts do réclames électorales ; on a retrouvé les tessères do lareprésenlaiion théfttrale qui devait avoir lieu co jour-là : on allait jouer le Cusinn de Plante ; dans une maison de courtisanes, te plat de haricots (|u’elles faisaient cuire pour leur repas était dans le fuurneau, les boutiques des noulangers étaient pleines de pain, des barils d’olives sont là attendant l’acheteur. Dans la maison de Vetiii. il a suffl de nettoyer les tuyaux pour que les jets d’eau du jardin fonctionnassent eii perlection. Un petit musée a été installé à Pompéi même, mais les objeis les plus précieux font rornoment du mai :nili<|ue musée de Naplos.

Les deux tiers à peine de la ville sont découverts. Elle était entourée de murs et construite sur un plan régulier. Les principales rues sont : ta rue Con.itdaire ou /fomitiennr, prolongée pur la Voie des tombeaux jn^^u’à la porte d’Ilorculaniim ; la rue de Mercure ei du Furum ; a mode l’AboudariCf,ii Korum ii la porto de Noie ; la rue do Stabips, de la porte de ce nom à celle du Vésuve. La largeur dos rues, pavées de lave, ne dépasse pas 9 mètres ; il V a beaucoup de fontaines, et les Pompéiens pratl((uaient io’tout à t’ét/out. Les maisons avaient un ou deux étages au-dessus du rez-de-chaussée, mais cetui-ri subsiste généralement seul aujourd’hui. Toutes les ouvertures des maisons .sont lournées vers les cours intérieures. A l’exlérieur. il v a souvent des boutiques. La disposition de colles-ci os"t.nssez uniforme : un comptoir creusé de trous,