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— n. m. Genre d’insectes coléoptères carnivores, de la famille des carabidés, propres à l’Amérique équatoriale.

o. m. pi. Groupe de crustacés décapodes brachyures*

comprenant ceux dont la carapace circulaire, ou seulement arquée en avant, rejoint par sa région frontale le cadre buccal toujours terminé en pointe antériouroment. Il Ancienne division des mollusques f,’astéropodes, répondant à la fauiillc actuelle dus jtinthinidés. — Un oxystomk.

OXYSTRYCHNINE {strik’) n. f. Nom donné à des produits do l’oxydation de la strychnine, que Schutzemberger obtint en faisant bouillir du sulfate do strychnine avec une solution aqueuse d’azotite de potassium.

OXYSUBÉRATE n. m. Sel dérivant do l’acide oxysubériqiie.

OXYSUBÉRIQUE (rilc’j adj. Se dit d’un aci<]e C’H'*0*, obtenu par la sapouitication des éthers subériqucs que l’on oMieiit en traitant l’éther broraobutyriquo par l’argent en pduilre.

OXYSUCCINIQUE adj. Chim. Syn. do mai.iquiî.

OXYSULFACÉTYLEn. m. Chim. Syn. do i-miKusuLFORÉ.

OXYSULFOBENZIDE bhi) n. m. Composé de formule ((_>I1’01I/SO’. que ion olitienl en chauiraiil au bain d’huile vers 1^0" un niëlan^’O de phénol et d’acide suirurique fumant.

OXYSULFOCYANURE (si) n. m. Cbim. Combinaison d’un sulfocyanuro avec l’oxygène.

OXYSULFOSEL n. m. Chini. Combinaison d’un sulfosel avec l’oxygène.

OXYSULFURE n. m. Composé de soufre, d’oxygène et d un troisième élément.

— Kncycl. Ou considère aujourd’hui les oxysxttfures comme des sulfures dans lesquels loxygène s’est partiellement substitué au soufre ; ainsi, l’oxysulfure d’antimoine Sb’O'S est (lu sulfure d’antimoine Si)*S*, dans lequel deux atomes do soufre ont été remplacés par deux atomes d’oxycèno. On trouve dans la nature un oxysulfurc d’antimoine Sb*OS* appelé kermès et on obtient par grillage du sulfure d’anumoino ou stibine des oxy sulfures qui. suivant leur degré doxvilation, portent les noms de foie d’antimoine, safran d anlitnoine ou verre d’antimoine.

OXYSYLVIQUE fn’A :’) adj. Se dit d’un acide obtenu on abandonnant à l’air, pendant quelques semaines, une solution alcoolique d’acide sylvique cristallisable.

OXYTARTREn. m. Cbim. Syn. de acétatk de potassium.

OXYTÈLE n. m. Genre d’insectes coléoptères brachélyires, type de la tribu des oxy té Unes, tgpandus surtout dans l’hémisphère nord.

— Encycl. Les oxytèles sont do petits staphylins bruns, noirs ou roux, aplatis, rugueux, qui vivent dans les matières stercoraires et volent le soir souvent en troupes ; ce sont eux qui entrent souvent dans les yeux des promeneurs, au voisinage des fumiers.

OXYTÉLINÉS u. m. pi. Tribu d’insectes coléoptères brachélytres, do la famille des staphylinidés, renfermant les oxytèles et genres voisins. — Un oxytéliné.

OXYTÉREPHTALAMIQUEi’rè/"-(a,miA’)adj. Se dit >i un ari,le r iP AzH») (CO’II)*, dérivé do l’acide oxvt.’ieplitaliiiue parsubstitution do l’amidogèuo’AzIP à l’hydrogène. Syn. amido-téeephta-

LIQUK.

OXYTÉREPHTALATE {rèf) n. m. Sel dérivant de l’acide oxytéreplitalique.

OXYTÉREPHTALIQUE {rèf, lik’) adj. Se dit dun acide C*HOH ), i^CO’H ,’,iii, que l’on obtient par l’action de l’acide nitreux sur l’acide amidotérephtalique.

OXYTÉTRALDINE n. f. Chim. V.

OXAI.IllNI- :.

OXYTÉTRIQUE adj. Chim. V. Tii-TUii ^ui- :.

OXYTHYREA (rë^) n. f. Genre de cétoines, répandues dans les régions chaudes et tempérées de l’ancien monde.

— Encycl. Les oxythyrea, à livrée noire ou bronzée, tachée do blanc, se tiennent ordinairement enfoncées dans les (leurs des chardons comme Voxythyrea stictîca ou cétoine piquolée, très commune eu France.

OXYTHYREUS {ré-uss) n. m. Genre d’insectes hémiptères liétéroptères, de la famille des phymatidés. comprenant une seule espèce, Voxythyreiis cylindricornis, qui est un curieux représentant de la tribu des macrocépbalinés. allongé, long de 1 centimètre et d’un brun rougeâtre.

OXYTOLIQUE (lik’) adj. Se dit d’un acide qui se produit dans l’oxydation du "toluène.

OXYTOLUAMIQUE imik’] adj. Se dit d’un acide, qui est encore connu sous le nom d’acide amidotoluiijue. et que l’on peut considérer soit comme provenant de l’acide oxytoluiquo par la substitution d’un amidogène à un oxhydryle, d’où sou nom d’acide oxytoluamique, soit comme dérivant do l’acide toluique par la substitution d’un amidogène à l’hydrogène, d’où son nom d’acide amidotoluique.

OXYTOLUIQUE {lit-ik’) adj. Se dit de l’un quelconque des acides phénols isomères C*H’(OH)= (CH’^CO’Hi, dont la formule renferme les éléments do l’acide toluique avec un atome d’oxygène en plus. Syn. oxytoluiuque, créso-TiSKjCK. etc.

OX’YTON (motlat. ; du gr. oxutonon ; de oxits, aigu, et tonos, ton) n. m. Gramm. Mot ayant l’accent tonique sur sa finale. (U n’y a pas d’oxytons en latin [sauf les monosyllabes ]. En français, depuis que l’e muet linal a cessé complètement d’être prononcé, tous les mots sont oxytons.)

OXYTRIALDINE n. f. Chim. V. OXALDINK.

OXYTRICHE Itrik’) n. m. Genre d’infusoires hypotriohes, type de la famille des oxytricftidéSf vivant ~ dans les eaux douces et salées. (Ce sont des animalcules nageant librement, do forme changeante, à soies Oiytriche (très grossi),

abdominales disposées en

deux rangées. Voxytricha ;Fruyijiosa des eaux douces et Voxi/tricha scutellum des mers européennes peuvent servir d’exomplos.)

OXYSTRYCHNLNE — OZA.NiNE

Oxyures (a, fe-

OXYTRICHIDÉS [ki] n. m. pi. Famille d’infusoires hypotriches, renfermant les genres oxytriche et voisins.

— Vn OXYTBICHIIJÉ.

OXYTRIMÉSIQUE [zik’) adj. Se dit d’un acide de forniiilo C’H's iCO’H ’, (jue l’on oliiicnt dans l’action du gaz carlionifiui- sur le salicylate basique de sodium à 400».

OXYTROPIS (piss) n. m. Genre do légumineuses papilionaçics, dout les fleurs rappellent celles des astragales. (Ce sont des herbes ou des arbrisseaux do rhcmisphère boréal. Quelques espèces forment sur le sol un véritable gazon. On les cultive pour orner les rocailles.) OXYURE n. f. Genre de vers nématodcs. de la famille des ascarididés, parasites dans divers animaux.

— EscTcL. Les oxyures sont do petits vers filiformes, à extrémité antérieure ordinairement trilobée et munie do petites papilles, à extrémité postérieure prolongée on pointe aigué cliez les femelles, papiUouso et semblant fourchue chez les milles. Il en existe aussi bien chez les insectes {oxi/unts blattx) que chez les chevaux {oxyurua curvutii). L’espèce propre à l’homme, où elle produit parfois do graves accidents, est l’oxyure vermiculaii’O {oxi/urus vermicularis] ; c’est Vasraris d’Ilippocrate, le/Hmôricw/usd’Aldrovande. Lo mâle ne dépasse pas 5 millimétrés do long, la femelle en atteint jusqu’à 1 !. Ces vers se tiennent dans tout l’intestin : les mâles semblent surtout fréquents dans l’appendice iléo-cœcal. Au moment do la ponte, les femelles passent dans le rectum, et cherchent ù. s’échapper par l’anus, où elles causent un prurit particulier. Les oxyures abondent surtout chez les femmes peu habituées à la propreté. Elles envahissent alors les organes génitaux, où elles amènent une irritation qui cause do la leucorrhée constante et souvent des accès de nymphomanie. Chez les enfants ^^ mâles, d’autres accidents se produisent molle ; b. mile par l’excitation du prépuce, etc. Les acci- [grossis 5 foisi). dents principaux causés par cette oxyure sont, on dehors de ceux précédemment énoncés, les pertes séminales, des attaques épiloptiformes, l’incoordination motrice, l’amauroso, des syncopes, l’incontinence d’urine, etc. On conseille contre les oxyures les lavements à l’eau froide, ou à l’eau de chaux, les purgatifs, et surtout les applications de pommade morcurielle.

OXYURIQUE {rik") adj. Se dit d’un acide obtenu par Vauqueliii ou traitant l’acide uriquo par l’acide azotique et neutralisant par la chaux lo produit de la réaction.

OXYVALÉRATE n. m. Sel dérivant de l’acide oxyvalériquo.

OXYVALÉRIQUE {rik’) adj. Se dit d’un acide C’H"0’, obtenu en traitant par l’oxyde d’arpent une solutiou d’acide bromovalériquo dans l’eau bouillante, il Se ditaussi d’acides isomères du précédent et particulièrement de l’aeiileethojiiHtfioxaligue. OXYXANTHONE n. m. Chim. V. xantuone. Oya, bourc d’Espagne (prov. de Pontevedra), sur la cùto de l’océan Atlantique ; 3.500 bab. Commerce de vins. Oyac, Guya, Mahoury ou Mahuri, fleuve de l’Amérique du Sud (Guyane fran( ;aise). forme par la réunion de la rivière de la Comté et do l’Orapou ; celle-là, plus importante, prend sa source, sous lo nom de « rivière Blanche », coule vers le N.-E., coupée de cascades, et se perd dans l’Atlantique, non loin de Cayenne, par une large embouchure, après un cours d’environ 150 kilomètres, en grande partie accessible à la navigation.

OïACOULETS, Indiens peu connus de la Guyane française, dans le haut Maroni. Ils ont la peau blanche, la taille élevée et les cheveux blonds. Leur langue n’est pas comprise de leurs voisins.

Oyama (Ivao), maréchal et homme d’Etat japonais, né en 1813. U prit une part active à la restauration du mikado en 1S08, contribua à réprimer l’insurrection de Satsouma {1877), fut ensuite soussecrétaire d’Etat au ministère do l’intérieur, puis préfet de police do Tokio (1879). U devint en 1880 ministre do la guerre et en 1SS2 chef de l’ciat-major. U était en France, chargé d’une mission d’études militaires, au moment où éclata la guerre franco -allemande do 1870-1871. Après avoir suivi les péripéties do celte lutte, il lut le premier â initier l’armée japonaise à la pratique des lois de la guerre des Etats civilisés. Ce fut lui qui conseilla l’adhésion du Japon à la convention de Genève. En 1881, il revint encore étudier l’organisation militaire des différents Etats européens ; cette même année, il fut créé comte. Pendant la guerre sino-japonaise (1S91-1S03), il commanda le second corps d’armée et cagna, notamment, la bataille de Port-.rthur (nov. 1891). Ses succès pendant cette expédition lui valurent les titres de marquis et de maréchal de l’empire.

OyaMPIS, Indiens de la Guvane, habitant les collines situées sur les deux rives du liaut Oyapock. Cette tribu est renommée pour son habileté à fabriquer des couronnes de plumes qui servent à maintenir les cheveux.

OYANCE [o’i-ams — rad. ouïr) n. f. Coût. anc. Redevance qui se payait au jour indiqué par un cri public, u On disait aussi o.vnce.

OYANT (o-ian ANTE rad. ouïr] adj. Qui écoute, à qui l’on adresse la parole. >Vx.i

— Dr. Oi/ant compte ou Comptable ayant. Celui à qui l’on rend compte : lies otants compte.

Oyapock, fleuve de l’Amérique du Sud, dans la Guj’ane, dont il constitue en partie la limite sud-orientale. L Oyapock naît dans les monts Tumuc-Humac, non loin du pic I Crevaux, du nom do l’explorateur à qui est due la décou-

Oyama.

verte do ces sources. Le fleuve coule vers le N.-E. et atteint l’.Atlantique par un large estuaire, après un cours d’environ 490 kilomètres.

Oyapock, quartier de la Guyane française, tirant son nom du fleuve Oyapock. Superf." 16.000 kilom. carr. ; pop. soo hab. environ. Principale agglomération : Saint-Georges. Culture du caféier, de la canne à sucre, du rocou. Oyarzdn l’anc. Olarso ou Oeaso ;, bourg d’Espagne (Provinces Basques [prov. de Guipuzcoaj, sur la rivière du mémo nom ; 4.000 hab. Fer, otain, plomb, cuivre, jaspe. Sources minérales à proximité.

oyat (o-i-a) n. m. Nom donné, en Picardie, à VammopUtjla arenana, graminée employée à lixer les dunes.

Oye, comm. du Pas-de-Calais, arrond. et à 3G kilom. de Saint-Omer : S. Gis hab. Ch. de f. Nord. Ruines de lancien château. Oye lAnseria) fut, du xv« au xvii’ siècle, le chef-lieu d’un comté puissant.

OyÉ, comm. de Saone-et-Loire, arrond. et à 17 kilom.de Cliarolles, sur un affluent de l’Arconce ; 805 hab. Fours à chaux. Clocher roman : château des xiv et xix’ siècles ; à .Sancenay, chapelle de la Vierge, lieu de pèlerinage.

OYEN (o-i’-in) n. m. Agric. Semaille d’octobre et do novembre, dans la Lorraine.

OYER (oi-î-é — rad. oie) n. m. Marchand d’oies rôties, rôtisseur. (Vx.)

Oyonnax, ch.-I. do cant. de l’Ain, arrond. et à IG kilom. de Nantua, sur un affluent de l’Oignin : 6.140 hab. Ch. de f. P.-L.-Xl. Vastes forôts. Tourbe. Commerce de bois. Fabriques de peignes en corne et en buis, d’objets en celluloïd, do cartonnages, do pipes en bruyère. Fonderie de cuivre, scierie ; fabrique de soieries et do draperies. — Le canton a 11 comm. et 11.309 bab.

OySTER-BAY, ville des Etats-Unis (New-York), comté de Quecn. sur ’ Oyster-bay ; 12.000 hab. Station balnéaire fré(|uentée.

OysteRMODTB, bourg de la Grande-Bretagne (pays de tlalles [comté de Glamorgan^ï, sur le canal de Bristol ; 1.700 hab. ’Bains de mer. Huîtres estimées.

OzA, bourg d’Espagne ’Galice [prov. do la Corogne]), sur les bords du Burgo ; 4.500 hab.

OZALJ, bourg d’Austro-IIongrie (Croatie-Slavonio [comicaid’. gram]j, sur la Kulpa, affl. de la Save ; 7.750 hab. OZANAM (Jacques), mathématicien français, né à Bouligneux (Ain^ en 1640, mort à Paris en 1717. D’origine juive, il étudia d’abord la théologie, puis se cons.icra aux mathématiques. Il composa une table des sinus (1G70), un cours do mathématiques (1693), de nouveaux éléments d’algèbre (1702), etc. Appelé à Paris par lo chancelier d’Aguesseau, il fut élu en 1701 membre de l’Académie dos sciences. Il mourut presque dans la misère.

OzANAM (Antoine-frtrfi*r ;<-1. écrivain français, né à Milan en 1813, mort à Marseille en 1853. 11 lut élevé au collège de Lvon, où son père était médecin do l’hôtel-Dieu. Il fit son droit à Paris et suivit les cours do la Sorbonne et du Collège de France. La foi quo lui avaient inculquée ses parents, que l’abbé Noiroi, son maître de philosophie, avait développée en lui, et qui l’avait poussé à entreprendre à dix-huit ans la réfutation du saintsinionisme, le fit se mêler activement au mouvement catholique. Admis dans les salons de Moolalemhert et dans l’amitié de Chateaubriand, de Ballanclie, de Lacordaire, des deux Ampère, il fut l’un des fondateurs de la Société de Saint-Vincent-de-Paul et l’initiateur des conférences de Notre-Dame. Docteur en droit en 1836, avocat à Lyon , il soutint avec éclat, en 183’8, à Paris, ses thèses de doctorat es lettres, dont la principale portait sur Dante et la J’Iiilosophie catholique. Professeur de droit commercial à Lyon, il quitta cette ville après la inort do ses parents et obtint aa concours ( 1840) une place d’agrégé des facultés. Professeur au collège Stanislas, à Paris, suppléant (1841’, puis successeur (18451 do Fauriel à la faculté des lettres, dans la mémo ville, il exerça sur ses élèves, par la chaleur de sa parole et la conscience de ses recherches, une grande influence. Chargé d’une mission en Italie (1846). il en revint avec les éléments de travaux remarquables sur les poètes franciscains en Italie au xm’ siècle et sur l’histoire littéraire de ce pavs. A son retour, il publia ses Etudes germaniques (1847-1849), qui lui valurent deux années de suite lo grand prix Gobert. Ozanam est l’un des plus considérés parmi les écrivains du parti catholique libéral.

OZANEAOX (Jean-Georges^, littérateur français, né et mort à Paris (1795-1852). Il fut professeur au lycée Charlemagne (Paris), recteur à Bourges, Clermont et Toulouse, inspecteur général des études (1837). Son principal ouvrage est une Bistoire de France (1845), élégamment écrite. On lui doit encore un assez grand nombre de pièces de théâtre, qu’il réunit sons le titro modeste A’Erreurs poétiques (1849).

OZANIQUE inik’— du gr. o :aina, puanteur) adj. Pharm. atir. t^m jmrifie l’haleine : Préparation OZ.VN1QUK.

OZANNE (Nicolas-Marie), graveur et ingénieur français, né à Brest en 1728, mort à Paris en 1811. Elève, adjoint (1743), puis successeur (1750) de Roblin, il collabora à la gravure des vues du Havre dessinées pendant le voyage de Louis XV, fut chargé de représenter l’escadre destinée à l’expédition de M inorque. Nommé dessinateur de la marine, attaché au bureau des géographes do la guerre (1762 il fit construire en 1766 la frégate . Aurore . et fut chargé [1769) d’instruire les princes de la famille rovale dansie génie maritime. U a laisse un grand nombre ’de vues de ports et, pour un traité de navigation (18271, des planches à l’eau-forte. — Son frère et clèvc, PiBBBE, né et mort à Brest (1737-18131, le remplaça comme dessinateur de la marine et devint capitaine de vaisseau. — Leurs sœurs : Jea.nxe-Frasçoise. morte en 1795. et Mar’e-Jean-nb, morte à Paris en 1786. femme du graveur Le Gouaz, se sont aussi adonnées à la gravure maritime.

Fr. Ozanam.