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l’AUIANA — PARIS

PARIANA n. m. Bot. Gonro do graminées américaines.

KNCvri,. Voisins (les maïs, los pnriatia sont do fortrs

plantes vivacos, i llgo souvent simple, dont l’épi porte, à cliai|iie n’iMici do son racliis. iino ou doux fleurs leniolles, entourées ilun assez grand nombre do fleurs mâles. {On en connaît une dizaine d’espèces, do l’Amérique tropicale.)

PARIBLE adj. Dr. anc. il toi parible, Epreuve par l’eau et le feu.

PARICINE{jitr) n. f. Alcaloïde C’*H"Az’0», retiré do diverses ctnclionéos.

PARICLE :idj. Il Charte pancle. Charte de contrat ou d’échaiig*’ dont on tirait plusieurs expéditions pour remettre aux diverses parties contractantes.

PARIDÉ, ÉE (du lai. parts, tdis, parisotto) adj. Bot. Qui ressemble ou nui se rapporte à la purisotlo.

— n. m. pi. Zool. Famille d’oiseaux passereaux dontirostros, comprenant les tribus dites dos parinés, 3’fjUhalinés, polioptitintKt. — Un pakidé.

PARIDINE n. (. Tilycosido extraite des feuilles d’une espèce de pariselte [parts i/uadrifoUii). qui se décompose on glvcose el en une matière résineuse, le paridoi, lorsqu’on’ le chauflb dans l’alcool avec l’acide chlorhydriquo. Syn. I>AR1NU.

PARIDOL n m. Chim. V. i>ARiniNB.

PariCN. ENNE Iri-in, en), personne née à Paros ou OUI habile cotte île. — Les Pahiens.

— Adjeciiv. Qui so rapporte à Paros où à ses habitants : Marbre parikn.

PARIER du lat. pariare, égaler. — Prend deux ( ilc suite aux deux prem. pers. pi. de limp. do l’ind. et du prés, du subj. : Xoits pariions. Qui ! vous pariiez) v. a. Faire un pari : Paruîr cen/ louis. Il Absolum. : PARiiiB /jour. PaRIHR contre.

— Par ext. Varier une chose, Affirmer quelle sera telle «u’on le dit.

— Loc. div. Je parie, Je panerais. Je suis persuade, le suis comme silr. n J’aurais parié, Je me croyais sftr. ii II y a à parier ; Il y a f/ros, beaucoup, miltc, tout à parier ; H y a cent a parier contre un. Il est presque certain, il y a de fortes raisons do croire.

— Jeux. Gager (juo celui des doux joueurs qu’on désigne gagnera ou perdra la partie, on convenant que si l’on se trompe on payera une somme déterminée.

— v. n. Se mettre de pair avec. (Vx.) Il S’accoupler. (Vx.) Se parier, v. pr. Faire l’objet

d’un pari, 6tre parié : Les sommes

qui SK PABIBNT UlUV COUrSfS.

— Syn. Parler, gager.V. (Iacer.

PARXBR (r(-*’) n. m. Propriétaire d’un évolage, dans les Dombos.

PARIÉTAIRE ( ter — du lat. parietaria ; do paries, ctis, mur, à cause do la situation ordinaire de ces piaules) n. f. Genre d’urticacées, du groupe dos /îan^/rti’fVe*.

— Encvcl. i, ou pariétaires %oni des herbes annuelles et vivaccs. rouvertes de poils crochus, À fouilles isolées, entières, sans stipules, t fleurs groupées en cymos axiilaires. La pariétaire ofHcinalo (parietaria of/icinalis), commune on France, surtout dans le Con- pariétaire : n, fleur inftle ; iro et l’Est, sur los décombres, b, fleur femelle.

les vieux murs, etc., a dos propriétés faiblement émollientes cl astringentes ; la petite quauiité do nitrate de potasse qu’elle contient la fait employer comme diurétique.

PARIÉTAL, ALE, AUX (du lat. parietalis ; do paries, élis, paroi, adj. Anat. Se dit do dirtéronts organes qui ont trait à la paroi d’une cavité : Plèvre parik-TALii. Péritoine paru- ;-

TAI..

— Bot. So dit d’une

ftartic qui s’insèro dans a n.iroi d’une autre. Il insertion parié’ aie, InHortion des étamines aur la paroi du calico tubulé.

— n. m. Anal. So dit de deux "s qui forment les c6tés )’t une partie do la voûte do la boite crânienne : Les parik-

TAUX.

— n. f. pi. Cla.«isc de plantes dicotylédones, comjirouant plusieurs familles, caractérisées par la placontation pariétale, icllos que les cistinées, droséracée », violariées, pussi/lurées. etc. — Une pariétale.

-- Encycl. Anat. Les pariétaux sont situés de chaque cAtô do la ligne médiane, réunis par leurs bords intornos, placés entre le frontal on avant et l’occipital on arrière. t :hacun d’eux a la forme d’uti soLnient do sphère quadrilatère. préHonlaut deux far.-s, quatr" bords ot quatre angles. |>a face externo, recouvcrif par le cuir chevelu, dessine un relir>f accusé, ou bo.fse pariétale. A la nais-Nanco, les angles non u.ssiliés des pariétaux sont encore membrani’ux et mous, formant los fontanelles, points do repère précii-ux. qu’on peut sentir par le toucher vaginal, et qui indiquent la position do la tête dans l’acrouchoment.

PARIÉTARIÉ, ÉEadi. Bol. Qui rossomblo à la pariétaire.

— n. I. pi. (iioupo ae la famille des nrticacèos, ayant pour type le genre pariétaire. - Une paribtarikb,

PariEU ( Marie -Louis- Pierre - Félix Ksqoirou de), homme politique et économiste français, né A Aurillac en I8I&, ni’irt à Paris en 189 :i. Il était fils de Je ;in-llipnolylo l’arieu ( 1 791-1 H7tî), qui fut député au Corps législatif. Avocat A Kiom. il fut élu, en I8»8, député du Cantal ft la Constituante, réélu à la Législative, devint ministre de l’instruction publique (oct. 1819-jauv. 18Si) et fit voler la loi

Partdtol (face Interne) : I. Trou pariétal ; 2. 4, i. Gouttières vaaciilaln ;».

Parie VI.

organique de l’enseignement (15 mars 1850). Sous le second empire, il devint successivement président do section, vice -président ( 1855), ministre -président du conseil d’Etat ri870) dans le cabinet Ollivier. Après lo 4 -Septembre, il rentra dans la vie privée ; mais, en 1876, il fut élu sénateur du Cantal, vota avec lo groupe do l’appel au peuple cl ne lut pas réélu on 1885. Eu is.’iG, il avait été nommé par décret impérial membre de l’Académie des scionccsmoralesetpolitiquos. Citons do lui : Histoire des impôts généraux sur la propriété et le revenH{Sô6Y,Trailé des impôts (1862-1864) : Principes de la science politique (1870) ; Histoire de Gustave-Adolphe, rui de Suéde (1875) : Considérations sur l’histoin : du second /empire (1876) ; etc.

PARIÉTINEn.f. Chim. Syn. de AciDBUSNiQUE.V. OSNIQOE.

PARIÉTIQUE adj. Chim. Syn. do chrysophaniquk.

PARIEUR, EUSE n. Personne qui parie, qui a l’habitude tic parier.

PARIFICATION {si-on) a. f. Action do paritier.

PARiriER filii lat. par, paris, égal, et facere, faire. - Prend deux / do suite aux deux prem. pors. pi. doTimp. de l’ind. et du prés, du subj. : Nous parifiions. Que vousv-RiKin- : z) V. a. Kendre égal ou pareil : Parifikr des comptes.

PARIGI (Jules), architocto ot graveur florentin, né avant I5yit, mort en 1635. Fils d’Alfonse Parigi. architecte, mort CM 1590, qui acheva le Palais des Offlccs et devint ingénieur du grand-duc do Toscane Cosmo II, il construisit la villa Poyyio impériale, lo palais Manetti et le couvent dos Augustins, à Florence. Les Italiens le regardent comme l’inventeur de la manière do graver â l’eau-forte dos ligures de très petite dimension. — Son flls, Ai.piionsk Parigi, mon en i05i ;, suivit d’altord la carrière dos armes, puis retourna a Florence ot s’adonna à l’architocture. Il répara los digues do l’Arno, construisit le palais Scarlati et se (il une grande réputation en redressant le palais Pitti, dont l’étage supérieur surplombait d’un demi-mètre du côté de la place. 11 a laissé aussi <les eaux-l’ortos.

FaRIGNÉ, comm. d’Illo-et-Vilaine, arrond. et à 10 Itil. de Foii^’L-res ; l.û99 hab. Ch. do f. Ouest. Etang de la Lande Morol. avec ilos flottantes ot tourbières.

ParignÉ-L’ÉvÊQUE, comm. de la Sartho. arrond. et à 15 kilom. du Mans, outre la Sartho et l’Huisne ; 3.10’i hab. Ch. do f. du Mans à La Chartre. Source ferrugineuse. Chapelle sépulcrale et lanterne funéraire du xii" siècle.

Parigny, comm. de la Manche, arrond. ot à 13 kilom. doMurtaiii ; 1.119 hab. Filature.

ParigOT (70), OTE [rad. Paris] n. Pop. Parisien, Parisienne.

ParigOT ( H ippoly te), littérateur français, né à Troyos en 1861. Elèvo do l’Ecole normale, agrégé, docteur es lettres (1898), il a professé la rhétorique on province, puis, à Paris, aux lycées Janson-do-Sailly et Condorcel. Ou lui doit : Mes petits papiers (1883), poème, sous lo pseudonyme do Marius Garpoit ; Emile Augier (1890) ; le Théâtre d’hier, études dramatiques, littéraires et sociales (1893) ; Génie et métier (1895) ; le Drame d’Alexandre Dumas, étude dramatique, sociale et littéraire [XSOU), etc. ; Alexandre Dujnas père (1901) ; etc.

PARILIES [li — lat. parilia ; do parère, enfanter) n. f. pi. Antiq. roni. Fôtos que les dames romaines enceintes faisaient célébrer dans leurs maisons pour obtenir un heureux accouchement. Syn. de paliliks.

Parima (i.ac), lac Blanc ou Amucu, lac fameux dans riiistniro imaginaire du pays d’P^ldorado.

Parima (sierra), ar^to maîtresse do la région montagneuse, encore peu connue, de l’Amérique du Sud, où naissent l’Orénoquo et lo rio Branco. Orientée du S.-S.-E. au N.-N.-E., cette chaîne, dont les croupes les plus élevées dépassent probablement 2-000 mètres, sort do froatièro entre lo Venezuela el lo Brésil.

PARINARI n. m. Genre do rosacées chrysobalanées (les régions tropicales, comprenant do grands arbres à rameaux velus, à fouilles munies de stipules à fleurs, réunies en grappes axiilaires et terminales.

PARINE n. f. Chim. Syn. do paridink.

PARINERVÉ, ÉE {nrr’ ~ du lat. par, paris, égal, et u’u-fus. nervure) adj. Bot. Qui porte deux nervures égales. Il On ditaussi parinervik, éh.

PARINËS n. m. pL Tribu d’oiseaux passereaux, famille Aes paridés, comprenant los mésanges proprement dites (parus) ot genres voisins. —

Un PARINB.

PaRINI (Joseph), poôto italien, néà Bosizio(Milanais) en 1729, mort A Milan on 1799. Entré dans les ordres, il débuta par un recueil de poésies anacrôontiquos (1752), signées du pseudonyme do RiPANO EupiLiNo. qui eurent un vif succès. Vint ensuite (1756) son Examen des » Progrès des lettres humaines ■> ,do Bandiera. En 1763, il fil paraître la Matinée, suivie do trois autres parties : le Midi, le

Soir, la Nuit, dans lesquelles il donno^non sans de mordanle. s raillories, l’emploi de la journée d’un noble el riche fainéant. Bonaparte, en 1797, le choisit comme l’un des administrateurs do Milan. Mais, malgré sa modération, Parini eut A souflTrir des persécutions do la part des Autrichiens redevunus maUres do Milan (17P9>. et mourut peu après. .Ses œuvres sont remarquables par l’exactitude et l’éclat

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des images, la perfection du style. Parmi ses œuvres en vers, il faut surtout citer ses odes, dont les plus remarquables ; la Guerre j la Tempête, la Nécessité, l’Auto-da-fé, appartiennent au temps de sa vieillesse. Il a laissé aussi dos canzonnettes, des cantates, des pastorales, etc. Ses Œuvres complètes ont été publiées à Milan (1801-1804) et SCS Œuvres <-lioi.<<ies on 1825.

PARINIRVÂNA n. ni- Terme relativement moderne de la théobjgie bouddhique et (pli désigne le nirvana complet, exclusivenu’iii consécutif A la mort.

PARIPENNÉ, ÉE ( ;)^n* — du lat. par, paris, pair, égal, et de penné) adj. Bot. Se dit des feuilles pennées qui se terminent au sommet par deux folioles opposées. 11 On dit

aussi PARIPINNÉ, ÉK.

PaRIOU (puy dk), antique volcan do la France centrale, en Auvergne, dép. du Puy-de-Dôme, A 9 kilom. de (.’lerrnont-Ferrand. C’est un des cratères les plus beaux et les plus réguliers qu’on puisse voir.

PARIS (nA.s — du lat. par. paris, pair) n. ra. Bol. Nom

s<’ientiliipie du genre parisetto.

Paris, capitale do la France, ch.-l. du dép. de la Seine, la première ville du monde au point do vue monumental ot artisti(iue, sur la Seine, on aval de son confluent avec la Marne. Superficie, déterniince par un périmètre de foriilications d environ 35 kilom. : 7.8(12 bect., inégalement partagés par le cours de la Seine, dont une boucle concave vers Te S. entame la partie méridionale de l’ovale irrégulior que dessine l’enceinte. Pop. : 2.71-1.068 bab. (Parisiens, ennes.) Paris est lo .centre du gouvernement et do tous les grands pouvoirs do l’Etat. Capitale politique de la France, la ville est en môme temps un des grands centres d’attraction du monde entier, aussi bien par le nombre el la beauté do ses monuments que par l’intensité do sa vio intellectuelle ot artisticj^uo et par Vattrail de sa crivilisalion, faite à la fois do raffinement et de bon goût.

Los avantages géograpbi(|ues de la position de Paris ont été souvent mis en lumière. Le principal consiste dans la situation do la ville sur les rives do la Seine, « voie naturelle qui réunit la Méditerranée A l’Océan -, au point précis «où vient aboutir la route d’Aquitaine et d’Espagne par la vallée de la Loire et le seuil du Poitou. Paris occupe ainsi le sommet du grand triangle des voies historiques do la France et. [>ar conséquent, l’endroit où les forces de tout le pays i)ou’ent être le plus facilement centralisées »■ (E. Reclus.) Ces avantages naturels ont reçu leur plein effet par l’établissement, au cours de l’histoire do la France, d une stricto centralisation politique et administrative.

Nous no saurions entrer ici dans l’étude détaillée de tous les quartiers et do tous les monuments, musées ot théâtres de la capitale, dont chacun a été décrit A son ordre alpbabctiquo. Nous no pouvons qu’indiquer sommairement la physionomie particulière de chacune dos grandes régions de la ville.

C’est dans l’Ile de la Cité que l’histoire place le berceau de Paris ; c’est encore lA. ou aux environs immédiats, que subsiste lo centre administratif et judiciaire de la ville, avec l’église métropolitaine Notre-Dame, l’Hôtel do Ville, la préfecture do la Seine, la préfecture de police, l’Hôtel-Dieu, le palais de Justice, la Sainte-Chapelle, etc. ; mais la vie inaustrielle et commerciale a quelnue peu déserté ce centre, pour s’établir surtout au nord ao la Cité, dans lo demi-corcle dont les grands boulevards sont la circonférence. LA so sont groupées, par affinités naturelles, les grandes branches de commerce ; les industries du mobilier, cjui n’ont que pou altéré la physionomie extérieure des vieux quartiers du Marais, des Archives, <lo la curieuse place des Vosges, du faubourg Sainl-Anioine. do la place do la Bastille, oi^ so dresse la colonne de Juillet : plus au N., les industries du vêtement, étoffes, .soieries, etc. Autour dos Halles centrales so sont donné rendez-vous les principales branches de l’alinicntation ; autour de la Bourse, les établissements de crédit, les ban<|ues, le commerce de grande commission, etc. Enlin, A mesure que l’on gagne & l’ouest, vers la place du }*alais-Uoyal, vers l’Opéra et la place do la Concorde par les grands boulevards, les rues do Rivoli, la place VeiidAme, le commerce et l’imiustrie, surtout du vôtemeni, de la parure et du bibelot, ont pris une forme plus luxueuse et brillante ; c’est aux environs do l’avenue do l’Opéra, de la ruo de la Paix, que se font, dans la bijouterie, les modes, la couture, les véritables créations parisiennes.

Autour de cette première série do quartiers, où semble s’être concentrée la plus grande partie do l’activité économique do la ville, so sont développées des agglomérations nouvelles, très ditTérentos do caractère. Vers l’O. et le N.-O. s’est portée la population riche et oisive «Passy, Autcuil. Arc-de-Triompbe, Trocadéro, Champs-Elysées, Plaine-Monceau. De larges avenues s’ouvrent en éventail autour de l’arc do triomphe. r|uune perspective ininter* rompue do magnifiques jardins (Champs-Elysées, jardin» dos Tuileries, etc.) relie, le long de la Seine, à 1 ancien Louvre. Au N. ot surtout à l’E., so sont groupées les populations ouvrières (butte Montmartre, la Villette, Bellovillo, Méniimonlani), en des agglomérations d’une extraordinaire densité, dont le pittoresque parc desButtes-Chaumont et la vaste nécropole du Pére-Lachaise rompent l’uniformité.

Plus do trente ponts relient les quartiers de la rive droite à ceux do la rive gauche. Ces derniers, moins développés en superficie une ceux de la rive droite, ont souvent mieux conservé leur ancienne personnalité (Monta ^,’ne-Saintc-Geneviève, quartier du Panthéon, du Val-de-GrAce. quartier Saint-Suljdce, rues de Varenne, du Bac. etc.). Aux abords immédiats do la Seine, lo Paris de lu rive gaucho est resté le centre de la vie politique (Palais-Bourbon, Luxembourg, ministères), artistique (Ecole de» beaux-artsi. intellectuello (Institut, Muséum, quartier des Ecoles, Sorbonne, Observatoire, grandes maisons do librairie cl d’édition). Une lar^e et ombreuse avenue réunit l’Observatoire aux magnifiques jardins du Luxembourg. Plus A l’ouest, l’esnlanado des Invalides est reliéfl par lo somptueux pont Alexandre-lII, par une courte et large avenue que bordent le Grand et lo Petit Palais de l’Exposition do lOOO. aux Champs-Elysées. Plus & l’O., de nouveaux quartiers so sont créés autour de l’Ecole militaire et du Champ-do Mars ; enfin, sur la périphérie, do grandes usines et des agL’lomérations ouvrières, moins denses que dans les quartiers correspondants de la rive droite, occupent les abords des entrepôts de vins de