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Gabrlellc Krauu.

. 329

U> Originel de l’art chrétien (1872) ; Manuel d’hiiloire ecclésiastique (1872-1873), ouvrage qui a Hé traduit en français ; Iloma solleranm (IS7J) ; Art et aniir/uilés en Ahacc-Lorraine (I87 ;i) ; linci/clopédie de.< anlu/iiili’s chrétiennes (1880-1(186) ; Histoire de l’art chn’lieu ’lmMi-ls99) ; Dante, sa vie et son anivre, etc. (1897) ; les Imcriptiont elirétiennet des pays rhénans {1890) ; Essais (1890) ; etc.

  • Krauss ( Mario -GabrioUo), cantatrice dramatique

autricliieuito, née à Vicnao on

18J2. — i :ilc est mono à Paris

en 1000.

Kremer (All’rod, baron db),

orientaliste auiricliion, né ù.

Vienne ou 1828, mortù Dcebliuç,

près de Vienne, on 1889. 11

voyagea oti Syrie et en Egypte

(18I9-I.S51). A son retour, il fut

chargé denseignor l’arabe vul-

gaire au Porytochuicura do

Vienne. .Mais il abandonn.i

cette l’onction pour retourner

en Kgypto, on qualité de pre-

mier drograan du consulat

autrichion. Il devint, on 1859,

consul au Caire. Il obtint en

18C2, le consulat de Galatz,

en 1870, le consulat général do

Beyroutb et fut nommé, en

1.^72, conseiller référendaire

pour les alfaircs consulaires au

ministère dos affaires étrangères do Vienne. L’Académio des sciences l’élut en 187G. La même année, il retourna au Caire pour faire partie de la commission de la dette égyptienne, retourna ù Vienne au printemps de I8S0, et passa, quelques mois après, du ministère des affaires étrangères à celui du commerce (févr. I8si). Ses publications ont trait surtout à la géographie et à l’ethnographie orientales : Contributions à la géographie de la Syrie du Nord (1852) ; la Syrie centrale et Damas (1854-1855) ; l’Eiii/ple (1803) ; Sur la légende de l Arabie du Sud (1866) ; Histoire des idées dominantes de l’Islam (186S) ; Ibn Chaldun et son histoire de la civilisation des peuples de l’Islam 1 1379) ; Etudes d’histoire comparée de la civilisation (1S89-1890) ; Histoire de la civilisalion en Orient sous les califes, ouvrage remarquable (1875-1877). Il a aussi publié des textes arabes, des études do critique, et un ouvrage politique : l’Idée de nationalité et l’Etat (18S5). Kremlin. BicËTRE, comm. du départ, de la Seine (eant. de Villejuii) ; 12.000 hab. (y compris l’hospice). Cette agglomération appartenait à la commune de Gentilly et en a été séparée pour constituer une commune distincte le 19 décembre 1890. Hospice d’aliénés. V. BiriÏTRE, t. II.

Kremnitz (Mario oi* Mita), écrivain allemand, née à Grcifswald (Poniéranie)en 1852. Fille du chirurgien Bardeloben, elle épousa le médecin Kremnitz, et se rendit avec lui à Bucarest, où il fut nommé médecin de la reine Elisabeth de Koumanie (Carmen Sylva) et du prince héritier. Après la mort de son mari, survenue en 1897, elle so partagea entre la Koumanie et l’Allemagne. Amie intime de la reine, elle collabora à ses travau.i littéraires, fit connaître, par ses poésies, ses romans et ses nouvelles, la Roumanie et ses habitants, ot collabora à la rédaction des Mémoires du roi Charles de lïoiinianie. Ses œuvres se distinguent par la pureté de la forme et la finesse de l’observation ot des sentiments. Ses principaux ouvrages sont : Poésies roumaines, traduites en allemand (3» édit., 1889) ; Deux mnndes, sous le pseudonyme Dito et loua (2« édit., 1880) ; Poste de campagne (1887) ; une tragédie : Anna Boleun (1886) ; dos recueils de nouvelles : Dans /’erreur (1888) ; Vengennce et autres nouvelles (18S91. Tous ces ouvrages ont été écrits en collaboration avec Carmen Sylva. Seule, Mita Kremnitz a publié : Esquisses roumaines (1881) ; jYouvelles esquisses roumaines (1882) ; Carmen Si/lva. Sa biogi-ap /iie(1882) ; Emigrés, roman ; Elina. Entre l’Eglise et le pastoral, nouvelles (l894) ; George Allan. Amour maudit. nouvelles (1880) ; les deux romans : la Société roumaine (1881) et un Enfant princier {im3) ; Légendes roumaines, traduites en allemand (1882) ; J.-C. Vacaresen, les Roumains pendant la guerre de IS77 à IS7S, trad. allem. (ISS5). Kreuger (Mils Edvard), peintre suédois, no à Kalmar en ls :,s. Elève dePcrséus à Stockholm (1876-l.’iS0), il va à Paris, où l’inHuenco des écoles françaises détermine l’éclosion de son talent (1881-1887), et oii il expose depuis 1883 : Sur le chemin de la carrière ; Labourage de printemps (galerie Furstenberg). Rentré en Suède, il s’installe avec K. Nordstrom ot K. Bergh à Varberg (1387- 1896, " école de Varberg •), et y peint une série de paysages : Effets de crépuscule, où’il s’attache à exprimer la profonde poésie de la terre suédoise ; Clair de lune {lS9i :: Crépuscule (1392) retc. Par la suite, il modifie sa manière, recouvre ses toiles aux tons vigoureux d’une sorte de moucheture, donuo des interprétations réalistes des paysages de la Suède méridionale et de la io animale : C’hevau :r effrayés, Clievaiu : au repus Usas) ; le Printemps en Halland (musée de Stockholm) ; etc.

  • Kreutzberger (Charles), dessinateur français, né i

GuebwiUcr eu 1829. — Il est mort à Paris en 1904. KREUTZCURVE imot allem. francisé) n. f. Math. (}uartiquo composée de liuit branches hyperboliques. ICrieg (Edouard), peintre français, né à Drubec (Calvados ) en 1829, mort à Paris en 1901. Elève de Léon Cogniet, il s’adonna ù la peinture religieuse et au portrait et exposa au Salon à partir de 1861. On cite, parmi ses «euvres : la Communion de Jeanne d’Arc (1861) ; la ^fort de sninl Clair (1880) ; le Miracle de saint Denis (1894) ; (o Pomme (1898), représentant un dîner du cercle normand. I ! avait fondé à Beaumonl-en-.uge un niuséo historique. Kruanitch (Georges), théologien et publiciste slave d’origine croate, no en Bosnie en 1617. Il s’occupa particulièrement des rapports des Eglises catholique et orthodoxe. Kn 1657, il partit pour Moscou. Ses elToris Sour rapprocher l’Eglise russe de TEglise latine le reuireni suspect, et il fut exilé en Sibérie. Il a laissé plusieurs ouvrages restés inédits jusqu’au xix* siècle : une Grammaire, où il s’efforce de constituer une langue slave idéale ; un Traité de politique, où il expose les rapports de la Russie avec les peuples slaves et engage lo tsar à protéger ses congénères. La Grammaire de Krijanitch a été [jubliée & Moscou en 1859 par Bodiansky ; la Politique, en 1860, par Bozsonov. La Société d’hisloire do Moscou a entrepris une édition complète des Œuvres do cet écrivain, qui fut un précurseur.

Krœcher ’JoBins de), hommo politique allemand, né en 1846 à Isenschnibbe (Brandebourg). Sous-lieutenant dans les dragons do la garde, il prit sa retraite comme capitaine en 1875, après avoir fait les campagnes de 1806 ot do 1870 contre l’Autriche et la France. Il so lani^ dans la politiiiuo et, grâce à son éloquence incisive, fut i la tête de la petite noblesse braudcbourgeoiso. Elu membre de la Chambre des députés prussienne en 1879, il se retira en 1882, mais y rentra en 188» et devint un des chefs les plus écoutés du parti conservateur ot un des inspirateurs do la « Gazette do la Croix.. Il fit une opposition vigoureuse au chancelier do Caprivi, so déclara contre toute alliance avec les libéraux et négocia une entente avec le parti du centre catholique. Très en faveur auprès de l’empereur Guillaume II, il soutint éuergiquement la politique chrétienne dirigée contre les socialistes ot les démocrates et fut un des défenseurs les plus habiles du protectionnisme et des agraricns. Nommé en 1898 président de la Chambre prussienne, il fut élu dans la même année député au Rcichstag.

Kronje. Biogb. V. Ceonje.

Kroyer (Peter Sevcrin), peintre danois, né à Copenhague en 1855. Il a remporté deux grands prix aux Expositions universelles do 1889 et do 1900 (Paris) pour ses peintures : M. Meldahl, directeur de l’Académie des beaux-arts de Copenhague ; Sur la plage ; le Départ des pécheurs ; Uip, hip, bip, hurra, hurra, liurra ! ; la Erescita ; une Séance de l’Académie royale des sciences : Soir d’été à Skagen ; le Vieux Péctieiir ; le Professeur Bergh, etc. Comme graveur, Kroyor avait exposé des portraits en 1900. Ces œuvres valurent une médaille d’or à leur auteur. Kruemmel ;Otto), professeur et géographe allemand, né à Exin (^Posen) en 1854. Il fut chargé d’un cours do géographie à l’université de Gœtlingue en 1878, délégué on 1832 à l’Observatoire maritime de Hambourg et nommé professeur de géographie physique i l’université et à l’académie de marine de Kiel en’ 1883. Il prit pan avec Victor Ilcnson à l’expédition d’étude du plancton en 1889. et fit de nombreux voyages océanographiques le long de la mer Baltique et de la mer du .N’ord. Ses principaux ouvrages sont : les Courants marins éqiialoriaiix et le Système général de la circulation marine (1870) ; Essai d’une morphologie comparée des mers ( 1879) ; Géographie politique de l’Europe d’après les manuscrits posthumes de O. Poschol (1880) ; /’Oci-aJi(l886) ; les Mouvements de la mer, t. II du Manuel de l’océanographie do’ Bogulawski (1887) ; Jlécit du voyage de l’expédition du plancton (1892) ; Observations géographiques et physiques faites pendant l’expédition du plancton ^1893).

^KbÙGER (Stephanes Johanncs Paulus), président do la république Sud-Africaine, né à Hastenburg (colonie du Capj en 1825. — Il est mort à Clarens (Suisse ; en iyo4. Kriiger s’embarqua pour l’Europe en octobre 1900, à bord d’un vaisseau de guerre hollandais, le Gelderland. Il fut accueilli à Marseille, à Lyon, à Dijon, à Paris, par d’enthousiastes ovations. Il allait demander une audience à l’empereur d’.^llemagne, sur l’appui duquel il comptait tout partictilièrement, en raison d’une dépêche de félicitations quo lui avait adressée Guillaume II à l’époque du raid Jamcson, mais il fut averti que l’empereur ne le recevrait pas. 11 s’installa alors en Hollande. La mort de sa femitie, l’insuccès dos négociations qu’il poursuivait, la douleur de voir sa patrie annexée contribuèrent encore à altérer sa sauté. Il dut aller chercher dans le midi de la France, près Menton, puis à Clarens, en Suisse, un climat plus doux. C’est à Clarens qu’il mourut. Il a érrit des mémoires, qui ont été publiés en 1903. — Sa femme, Xina DuPLEssis, née eu 1834, morte à Pretoria en I90i, appartenait à. une famille d’origine française. A seize ans, elle épousa Paul Kriiger et, de cette union patriarcale, qui dura plus d’un demi-si.ècle, naquirent seize enfants. Lorsqu’on 1900 lo président dut partir pour l’Europe, il laissa sa femme à Pretoria, tombée au pouvoir des Anglais. C’est là qu’elle mourut d’une pneumonie. KrÙGCR (Franz), statuaire allemand, né à Berlin en 1849. Elève de l’Académie do Berlin, de V. Wollf et de A. Wolff, il a exécuté de nombreux travaux à Berlin, à Broslau ot à Francfort-surde-Mein. Dans cette dernière ville, il lit presque toute la sculpture du nouvel Opéra. En 1882, il visita l’Italie. On lui doit : le Monument à la Guerre, érigé à Sachsenhauser ; le Monument funéraire d’tEhIer, à Offeiibach : le buste du baron Bethmann (bibliothèque de Francfort) ; etc.

Krumbacher (Charles), professeur et historien allemand, né à Kuernach, près de Kempten (Bavière) en 1856. Proi’osseur à l’université de Munich, membre de l’Académie royale dos sciences de Munich et correspondant de r.Vcadéniie des inscriptions et belles-lettres à Paris (1900), il s’adonna particulièrement à l’étude de l’histoire et de la littérature grecques à partir du vi* siècle, et fit à cet effet plusieurs voyages en Grèce et en Turquie (1884-18S5), en Italie et en France (1891-1892) et eu Russie , ;i897). Il publie depuis 1892 la « Revue bvzantine «. Ses principaux ouvrages sont : Voyage en Grèce (1886) ; Histoire de la littérature byzantine â partir de Justinien jusqu’à la chute de l’empire romain d’Orient [5^7-1 iôS’^ ( 18901 ; ProrerAex de la Grèce centrale (1897) ; Michel Ghtkas (1895) ; une Lamentation dialogitée sur la chute de Constantinople (1898) ; Etudes sur les légendes de saint Théodose (1892) ; les Eléments grecs dans les langues arabe et turque (1893). KrummeNAU, comm. do Suisse (cant. de Saint-Gall ’distr. dOber-Toggenburg^), sur la rive droite de laThur, affilient du Rhin ; 1.420 hab. Agriculture et élève ^’.e bétail. Broderie mécanique. Station d’été (723 m. d’altitude).

  • KROPP(Frédéric-.lfred fondeur prussien, né en 1854,

mort à Esson (Prusse-Rhénane) en 1902. — Fils d’.AJfred Krupp, il succéda à son père, en 1887. comme chef de la grande fonderie de canons, armes et matériel de guerre d’Essen. Il l’avait encore développée et y avait ajouté de nouvelles spécialités, au furet à mesure des découvertes et applications nouvelles intéressant l’art militaire et naval, comme les plaques de blindage des navires. La grande spécialité de la maison Krupp était toujours restée la KRAUSS — KLHiN

fabrication des bouclif^ft à fco et, an I«r janv’*»r îoa», Jn sistance. II fut dp

’îmlhtunu’ M l’api" .

.1 d’htat. ri’i-j.Mjfi loii li lut buu iiôiv a Ja lUil habitait à E ::sea ; l’empereur assista à "^KRUbE H.nri publiciste et auteur dramatîiiuc atleniaii’j, iir> à Stralsuud od 1815. - Il est mort à Buckcboiirg cil lyij-.’.

Krtlov (Victor-Alcxaodrovitcïi), auteur russe, ué en cara-_t>.-r ;:>c .

au luD’leniati.

brcuscs iraijii ._ _ _, , . «t.. ^^ ..j. , KRYPTOUTE O. f. Substaoco minérale, résultaot do 1 altx^ratiun <Jo la prismatioc.

KRYPTON (du gr. kruptûi, caché) n. m. Gaz do l’aimuspliérc. d(^couvert par Kamsay et Travers eu 1888. a Ou écrit aussi chvptos.

— Encycl. Ce gaz s extrait de l’air liquide on dr«tiUanC celui-ci par fraction : les par !i*»s les moins volatiles coutieuneut un nn’tl.i ’ '

lauge est solidiiié ■ t

leur différence dev.i

une t«QsioD de vapeur jiiis i.jn

inactif, do densité gazeuse é^..

est monoatomique ; son poils n.

liquétic À — 15P7, et st-

— 169*. Le krypton pos-’

celui de l’aurore boréale.

verto. L’atmosphère en couucui cux.ioi ua mditouiciue. KTÊMA OS AEl mois pr. siirnif. "n ffi^n pour tovjovra^, expression de Tlni^ ’ ' ^’ ' ,* I „- . L’historien grec, c ;i , ,i

posé non pas un • ;,

tfurs d’un moment. ’.jUânK- • ciix ^ii-’ 1 quelquefois de sou temps pour s’attirer les nicDts dans tes lectures en public, mais bien pour toujours, c’est-à-dire une œuvre de^tiiice a’ servir d’une maDière durable d’cnseignemcni pour les hommes d’Etat.

KTYPÉITE u. f. Carbonate naturel de chaux, qui est celui du calcaire pisoltthique doCarIsbad. KDBÉITE n. f. Sulfate hydraté oaturol do fer et magnésie.

KUBELIK (Jean), violoniste tchèque, né en i-- T’ entra à l’âge de douze ans au Conservatoire de 1’ où il eut pour maître Sevcik. 11 a entrepris, en Eur’ en Amérique, des tournées artistiques, où sa virtuotité lui a valu de grands succès.

ICuFFERATH (Maurice), musicographe belge, fils o-i pianiste et compositeur Hubert-Ferdinand (idifi-i-né à Bruxelles en 1852. Il étudia ta musique et le v : celle en amateur, devint rédacteur politique à 1 = I peudancc belge ■, et plus tard collaborateur. puis dirr •■ du • Guide musical ■ de Bruxelles, où il a montr.- - ■ i de bienveillance pour toute musique qui wagnérienno. Il est devenu codirecteur du ■ Monnaie. U a publié : liicftard Wagner et lu de Beelfiûien (18"5) : Ht :ctor Berlioz et Robert ^chLtifi’-u ■ 1879 ;; Henry Vieuxtemps, sa tie et son œuvre (1883 ; ia Walkyrie (1887), Parsifal {IS90) ; /.ofirmirin i^^V : V ;,-,^fried (1891) ; Tristan et Iseult (18.’. Maîtres chanteurs de yurembery

losophes : 7’oUtoi, Schopcnhaaer, .

  • KUBN (François’, baron db Kcunenfeld. général anirichien,

né à Prossoitz en 1817. — 11 est mort à Slassolda, près Gradisca, en 1896.

KdHN (Félix), pasteur protestant fran< ;ais, né en 1832, mort à Paris en 1905. Après avoir été successivement pasteur à Cliampey et à Seloncourt i^Doubs , il desservait, depuis 1867, une des circonscriptions de i église do laRcdomption. à Paris. Il a publié un ouvrage ±>ur Luther qui a été couronné par l’Académie française, ainsi qao la réimpression, avec introduction et notes, du livre de Luther sur la Liberté chrétienne et de l’Adresse à la nation allemande touchant la Béformation. 11 était inspecteur ecclésiastique et président du Cousistoiro luthérien do Paris. KUBN (Ernest W. Adalbert linguiste et orientaliste allemand, né à Berlin en 1846. C’est le rils du célèbre linguiste et myiliographe Adalbert Kuhn (ISU’-1881) [v. t.V_. Il fut nomnié en 18*5 professeur do sanscrit et de grammaire comparée à Heidelberg, puis à Munich (1877 . Il a publié des Contributions à ïa grammaire pâlie (l875i et une étude Sur les plus anciens éléments aryens du lexufue cinghalais (1879). Il édile avec Geiger le Précis de phaologie iranienne (1895 et suiv. av"- l*» s, l m » - - 1901, la ■ Revue de linguistique .

1875) ; avec L. Scberman. 1’ ■ On-

(à partir de I893i, fondée p"." V "’

associé avec a. Socin et

raitre. en 1879 et 1880, à Lt

tifiques annuels des études i^rtrniti-^^ . i........i.- -. ...^ ., pour publier, de 1883 à 1887, la • Kevue littéraire de la philologie orientale ».

Kuhn ;juiius’. ’■' ’^niu

Saxe, en 1825. Mei :. . e des

sciences, surtout c>. : . . .x tra-

vaux sur ralimentaiioii raiioiiaeli» ; ^u :.,cta.i. iu^ Traité de t’alitnentation rationnelle des bétes bovines, d’après Ut données de la science et de la pratique, a été couronné dès ISô’ parla Société d’agriculture de Silésie. Extrêmement répandu en Allemagne, traduit deux fois en français, ce livre est une œuvre aujourd’hui devenue classique. Kuhn s’est livré en outre à d’intéressantes recherches sur la mise en fermentation des fourrages verts, sur l’amendement du sous-sol dans la culture de la betterave à sucre, sur les engrais verts, sur les phosphates d os. sur la vesce au point de vue de laUmentation des vachet