Page:Oeuvres de Louis Racine, T1, 1808.djvu/212

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crainte, que la foi doit chasser de mon cœur !
Tu n’as point parmi nous besoin d’un défenseur.
Du prince des enfers que la rage frémisse ;
Qu’il ébranle, s’il peut, ton auguste édifice :
Quand mes yeux le verraient tout prêt à succomber,
L’arche du Dieu vivant ne peut jamais tomber.