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D’une main l’évêque prend discrètement la bourse offerte ; de l’autre il fait le geste qui bénit et absout.
« Que Dieu lui pardonne ses offenses comme nous les lui pardonnons ; qu’il lui remette ses péchés et l’accueille en sa divine miséricorde ! Amen. »
Quiconque a de l’argent en suffisance n’a rien a craindre dans ce monde, et peut faire d’un âne un chrétien. Ainsi nous l’enseigne par ce conte RUTEBEUF, le bon poète qui onques n’eut ni sou ni maille.