Page:Peguy oeuvres completes 06.djvu/268

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Telle la vieille sainte éternellement sage
Connut ce qui serait l’honneur de sa maison
Quand elle vit venir, habillée en garçon,

Bien prise en sa cuirasse et droite sur l’arçon,
Priant sur le pommeau de son estramaçon,
Après neuf cent vingt ans la fille au dur corsage :

Et qu’elle vit monter de dessus l’horizon,
Souple sur le cheval et le caparaçon,
La plus grande beauté de tout son parentage.